Les sciences biomédicales ne cessent d’osciller entre le « dur » du côté de l’anatomie et de la biologie, le « mou » du côté du soin et de son avatar le placebo. La clinique y occupe une position intermédiaire, entre la « dureté » de l’orthopédie et la « mollesse » de la psychosociologie, elle continue à chercher sa place entre science et art.