Carnets de santé
En une succession de petits tableaux dressés avec humour, Luc Perino, met en scène nos fantasmes et nos misères quotidiennes. Cette vingtaine de sketches sont autant d'alibis pour disserter sur l'homme et la santé.
De petites victoires en échecs amers, avec la ferme certitude que le doute est son plus fidèle allié, il est au carrefour entre la science désincarnée et l'humanisme bienveillant.
Carnets de santé
Carnets de santé de Luc Perino : dépasser la dose prescrite.
Carnets de santé
Les Carnets de santé de Luc Perino sont un décapant récit de ses consultations de généraliste.
Carnets de santé
Les très bons livres consacrés à la médecine générale se comptent sur les doigts d’une main, celui de Luc Perino en fait assurément partie et il est absolument excellent. Prenez le temps de le lire, c’est un véritable régal.
Carnets de santé
Au fil de ces 22 récits, on comprend qu'à l'heure de l'Evidence Based Medicine, le généraliste demeure cet animal à sang chaud qui doit se fier à son seul flair.
Ce toubib lyonnais a le don pour raconter. Toujours incisif, parfois caustique, il pose un regard anthropologique sur ses patients.
Carnets de santé
Coup de coeur.
Dans chaque pathologie, chaque symptôme, Luc Perino traque le mal qui ronge notre société et transcrit ses observations pertinentes, émouvantes et souvent hilarantes, dans ses Carnets de Santé.
Ce médecin est un écrivain d'un talent très particulier : l'homme de l'art sait non seulement prendre notre pouls, mais aussi faire palpiter nos coeurs.
Nous prescrivons ses 22 histoires, même aux bien-portants. Elles sont un baume contre la morosité...
Face à une pensée rigide et oppressive, un usage rationnel de l'humour peut être libérateur.
― Michel Schiff
L’éthique est le nouveau mot d’ordre en temps de crise. C’est la promesse moderne faite pour corriger, amoindrir, adoucir la dureté et la violence du monde que nous mettons en place. Elle est une solution pour humaniser le champ des pratiques sociales à grands renforts de processus, de normes et de règles. Quand l’homme n’est plus capable de vivre la bienvenue fondamentale qui bouleverse l’existence, il se rabat sur les substituts normatifs (moraux, juridiques, réglementaires) qui ont le goût et l’odeur de la bienvenue, mais n’en ont pas la texture.
― Marc Grassin et Frédéric Pochard