Carnets de santé
En une succession de petits tableaux dressés avec humour, Luc Perino, met en scène nos fantasmes et nos misères quotidiennes. Cette vingtaine de sketches sont autant d'alibis pour disserter sur l'homme et la santé.
De petites victoires en échecs amers, avec la ferme certitude que le doute est son plus fidèle allié, il est au carrefour entre la science désincarnée et l'humanisme bienveillant.
Carnets de santé
Carnets de santé de Luc Perino : dépasser la dose prescrite.
Carnets de santé
Les Carnets de santé de Luc Perino sont un décapant récit de ses consultations de généraliste.
Carnets de santé
Les très bons livres consacrés à la médecine générale se comptent sur les doigts d’une main, celui de Luc Perino en fait assurément partie et il est absolument excellent. Prenez le temps de le lire, c’est un véritable régal.
Carnets de santé
Au fil de ces 22 récits, on comprend qu'à l'heure de l'Evidence Based Medicine, le généraliste demeure cet animal à sang chaud qui doit se fier à son seul flair.
Ce toubib lyonnais a le don pour raconter. Toujours incisif, parfois caustique, il pose un regard anthropologique sur ses patients.
Carnets de santé
Coup de coeur.
Dans chaque pathologie, chaque symptôme, Luc Perino traque le mal qui ronge notre société et transcrit ses observations pertinentes, émouvantes et souvent hilarantes, dans ses Carnets de Santé.
Ce médecin est un écrivain d'un talent très particulier : l'homme de l'art sait non seulement prendre notre pouls, mais aussi faire palpiter nos coeurs.
Nous prescrivons ses 22 histoires, même aux bien-portants. Elles sont un baume contre la morosité...
La vulgarisation médicale se heurte à un premier écueil d’ordre émotionnel. Nul n’est indemne de symptômes, chacun a expérimenté une souffrance, soit directement, soit chez un proche. Aucun lecteur n’est cliniquement vierge, la vulgarisation médicale ne s’écrit jamais sur une page blanche. Il est plus aisé de vulgariser l’astronomie ou l’électronique, car nul ne se sent intimement concerné par elles.
― Luc Perino
Ces bévues ne sont point pour nous (médecins) et c'est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin le bon de cette profession est qu'il est parmi les morts une honnêteté, une discrétion la plus grande du monde ; et jamais l'on en voit se plaindre du médecin qui l'a tué.
― Molière