humeur du 15/09/2020
Par catégorie professionnelle | |
Médecins | 27% |
Professions de santé | 33% |
Sciences de la vie et de la terre | 8% |
Sciences humaines et sociales | 12% |
Autres sciences et techniques | 4% |
Administration, services et tertiaires | 11% |
Economie, commerce, industrie | 1% |
Médias et communication | 3% |
Art et artisanat | 1% |
Par tranches d'âge | |
Plus de 70 ans | 14% |
de 50 à 70 ans | 53% |
de 30 à 50 ans | 29% |
moins de 30 ans | 4% |
Par motivation | |
Patients | 5% |
Proche ou association de patients | 3% |
Thèse ou études en cours | 4% |
Intérêt professionnel | 65% |
Simple curiosité | 23% |
Après l'étude de Tuskegee - En 1932, à Tuskegee en Alabama, quelques médecins américains souhaitèrent étudier plus à [...]
Publicité anti-tabac - Récemment entendu sur un grand média : « la publicité contre le tabac est efficace [...]
Le seul tort des psychiatres - Les psychiatres qui font certainement leur métier avec empathie et humanité, doivent souffrir [...]
Coliques du nourrisson : inquiétante perspective - Récemment, un article médical sur les coliques du nourrisson, publié dans une revue [...]
Effet moisson - En épidémiologie, l’effet moisson désigne la compensation qui suit un excédent de [...]
Les histoires individuelles qui ont rempli ma vie de médecin, ne sont pas des preuves, elles restent des anecdotes. Si, pour moi, ces histoires de patients dessinent le contour d'une science, elles ne peuvent cependant prétendre à ce statut. La science ne progresse qu'avec des vérités opposables et reproductibles, c'est sa force et son honneur. Les histoires de mes patients ne sont ni opposables, ni reproductibles, elles sont tout simplement vraies, c'est leur force et leur poésie. Si la médecine, comme il se dit parfois, est un art, chaque année qui passe peut améliorer mon espoir d'approcher l'excellence ; si elle est une science, mieux vaut y renoncer.
― Luc Perino