lucperino.com

Forum médical

Pour des questions médicales personnelles, veuillez plutôt contacter Luc Perino en donnant des précisions.

Réponse à Aris

Posté le 28/03/2016 par Luc Perino

Monsieur,

Permettez-moi de vous répondre d’une façon qui ne va certainement pas vous satisfaire.

Seuls les signes cliniques ont une importance pour décider de la limite d’un effort.
Parmi ces signes, la dyspnée intense, les douleurs musculaires, les céphalées, etc.
Les crampes musculaires sont particulièrement importantes, car elles sont le fusible du cœur mis en place par la nature.

Lorsque l’on base ses efforts sur des chiffres fournis par des machines basées sur des moyennes statistiques, on prend le risque de dépasser ses limites individuelles et de faire un accident cardiovasculaire.
On limite également le plaisir de l'effort pour soi.

Diverses études montrent que les champions de haut niveau qui se soumettent le plus souvent à ces tests technologiques ne sont pas ceux qui ont la meilleure espérance de vie. Sans parler de la qualité de vie.

Cordialement

Hypertension artérielle

Posté le 25/03/2016 par Aris

Bonjour, j'aurais voulu avoir un exemple de graphique montrant l'augmentation de la pression sanguine avec l'effort, au fur et à mesure qu'on s'approche par exemple des 80 % des capacités cardiaques pour un homme de 65 ans, par exemple. Ou du moins une limite supérieure approximative de la pression sanguine au cours de l'effort intense.

Cancer du poumon

Posté le 23/03/2016 par Marion

Bonjour,
je tenais à vous remercier pour votre site. Il est très agréable et apporte des réponses claires. Il va complètement à l'encontre, de ce que les sites médicaux nous proposent systématiquement. Tout est, en effet, relié au cancer ...
Vous nous expliquez ici que ce n'est pas une généralité, et que cette maladie n'est pas le premier diagnostic , heureusement.
Ma maman a une belle bronchite, à regarder sur internet, je m'étais persuadée d'un cancer au poumon, du à son passé de fumeur.
Grosses sueurs froides, angoisses, tout corrélait... ce qui me paraissait fou car il y avait que moi qui m'inquiétait.... même le médecin ne se dirigeait pas vers ce diagnostic...
J'ai bien compris que les premiers signes sont avant tout une énorme fatigue et de la perte de poids... et que la toux apparait, parfois... très tardivement.

Dessins choisis

Posté le 23/03/2016 par Claude

Merci pour la rubrique "Dessins choisis" !
Sourire et relativiser, but atteint !
Réduire le nombre des "tamalou" et de ceux qui attendent leur maladie prochaine serait l'idéal !

Vaccinations sanitaires et marchandes

Posté le 14/03/2016 par Dr Delattre

Mon cher confrère,
Il me semble que votre réflexion arrive fort à propos!!
Je pense qu'effectivement, les incohérencesz entre l'obligation vaccinale du DTP et sa non disponibilité dans sa forme simple, que les vaccins disponibles sioent nettement plus onéreux en période qu'on pense d'économie,augmente la mefiancen de la population vis à vis de l'intégrité de nos dirigeants ou de leurs conseillers..Ies arguments purement médicaux, se retrouvent au deuxième plan du débat,ce qui n'est pas en faveur d'une réflexion personnelle de la majorité des gens sur l'utilité de la vaccination et les choix à effectuer en connaissance de cause....
Merci pour cette saine vision que vous apportez
bien confraternellement

Site

Posté le 12/03/2016 par Martine

Bonjour,

merci pour votre site,
il est rare de trouver un site sans publicité et aussi clair.
je suis infirmière, je pense que j'y retournerai régulièrement

Cordialement

Vaccinations sanitaires et marchandes

Posté le 08/03/2016 par Frédéric Urbain

J'approuve cet article, mais j'ai un gros doute concernant la phrase "on peut supprimer la vaccination obligatoire sans risque ..."
Mon expérience de soignant concernant la vaccination anti-grippale des personnels dans les EHPAD me laisse plutôt à penser que la majorité de nos contemporains ne se sentent concernés que par leur bénéfice personnel, et pas du tout par le bénéfice collectif.

Réponse à Cindy

Posté le 01/03/2016 par Luc Perino

Il faut bien faire préciser s'il s'agit d'une sclérite ou d'une épisclérite.
Si c'est une épisclérite, c'est le plus souvent passager et bénin. Si c'est une sclérite, cela peut effectivement avoir une cause auto-immune.

Auto-immunes (Maladies)

Posté le 01/03/2016 par cindy

Bonjour. Après plusieurs mois de rdv , on a enfin mi un nom sur mon symptome : une episclerite ( inflammation de l'oeil , rougeur ... ) mais on a pas encore trouvé la cause. Est ce forcément une maladie auto immune ?

Lâche-moi la thyroïde

Posté le 27/02/2016 par Beate Bartès

Article très intéressant, et vous avez tout à fait raison de vous élever contre le "surdiagnostic" et surtout le "surtraitement" des nodules thyroïdiens, qui sont en effet très souvent bénins ! Or, comme ils sont très fréquents, notamment à partir de la ménopause, un dépistage trop généralisé transforme plein de personnes auparavant bien portantes en "patients", angoissés par la perspective d'un éventuel cancer !

Et il est vrai que même en cas de cancer, celui de la thyroïde est "souvent" peu agressif (et peut même ne jamais évoluer, comme l'ont démontré certaines études d'autopsies) - mais pas "toujours" !Malheureusement, il existe aussi des formes plus agressives, et il y a quand-même entre 300 et 400 décès annuels en France ! Responsable d'un forum de discussion pour patients depuis plus de 15 ans, j'ai vu plusieurs ami(e)s mourir rien que l'année dernière, et d'autres qui vont très mal - lire que "LE cancer de la thyroïde n'évolue pas et, souvent, régresse" généralise trop, il faudrait écrire "la PLUPART des cancers de la thyroïde" !

Eviter le dépistage généralisé, oui (notamment par échographie, découvrant même les micronodules dont on ne s'en serait vraisemblablement jamais rendu compte, et qui n'auraient jamais posé de problème), tout à fait d'accord ! Mais faire une palpation du cou lors d'une consultation (les médecins "touchent" de moins en moins, c'est dommage !), cela peut permettre de découvrir un nodule qui pourrait poser problème. Il aurait été intéressant de souligner l'importance des BONS examens à faire - une fois qu'on a découvert un nodule - pour savoir s'il faut opérer ou s'il suffit d'une (légère !) surveillance : utilité d'une (bonne !) échographie et de la cytoponction si nodule gros ou suspect ... (examens très utiles pour rassurer tous ceux, la majorité, dont les nodules ne nécessitent PAS d'opération).

Votre description des risques de l'opération et des traitements en cas de cancer est un peu trop alarmiste (ici aussi en généralisant trop) - du coup, c'est très angoissant pour ceux qui DOIVENT se faire opérer ... or, quand l'opération, et éventuellement l'iode radioactif, est vraiment nécessaire, il ne faut pas hésiter, ces risques sont quand-même rares (et généralement bien maitrisés) ! Il s'agit, pour chaque cas, de bien comparer les risques de l'intervention et ceux de l'abstention thérapeutique (même si ce n'est pas toujours évident, et qu'il faudra davantage d'études) - et aussi de tenir compte de l'avis du patient !

En tout cas, cet article nous permettra de continuer les réflexions déjà en cours sur notre site et dans notre groupe Facebook - et d'encourager les patients à ne pas accepter aveuglement toute recommandation de chirurgie, mais à discuter, à poser des questions, à prendre leur PROPRE décision de la manière la plus "éclairée" possible !

Une discussion déjà en cours : https://www.forum-thyroide.net/phpBB/ftopic42812.html

Très cordialement
Beate Bartès, e-patiente
Forum et Association "Vivre sans Thyroïde"
www.forum-thyroide.net

Lâche-moi la thyroïde

Posté le 27/02/2016 par Henri Dubois

Bien reçu, et merci encore ...c'est édifiant, mais comment faire en sorte, justement, que les citoyens se prennent en main au point d'arriver à infléchir les lignes de la faculté et celles de notre ministère de la santé ?
amicalement

Lâche-moi la thyroïde

Posté le 27/02/2016 par Etienne ROBIN, néphrologue

Il serait très utile de réhabiliter, en médecine, l'abstention thérapeutique (couplée à une bonne tenue des dossiers, une certaine surveillance du "malade", et beaucoup d'explications).
Ce serait bénéfique pour la population (moins d'incidents iatro-induits), pour les médecins (exercice plus gratifiant car plus pertinent), et pour les dépenses de santé.
On peut rêver d'un diplôme interuniversitaire sur l'abstention thérapeutique. Cela générerait des recherches qui donneraient des arguments aux médecins qui pressentent qu'ils sont nuisibles en en faisant trop. Quasiment tous les jours...

Zika ou la démesure infectieuse

Posté le 13/02/2016 par Dr Lambertin

Ci joint un article selon lequel des medecins bresiliens et argentins mettent en cause un autre produit : le pyriproxifène insecticide
http://www.parismatch.com/Actu/International/Des-medecins-suspectent-un-produit-chimique-de-Monsanto-912875
il y a un lien avec l 'article de chercheurs argentins

cordialement

Zika ou la démesure infectieuse

Posté le 11/02/2016 par Dr Mireille Lambertin Martinez

Et le round up si présent au bresil et en argentine et au paraguay
http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/tx1001749
et les moustique OGM au bresil ? une incidence sur les l'équilibre de certaines espèces de mustiques ?
http://www.infogm.org/5691-Bresil-moustiques-OGM-sont-ils-ineffficaces

cordialement

Zika ou la démesure infectieuse

Posté le 10/02/2016 par Michèle Ottmann

Bonjour Luc, merci pour la chronique,
Précisions quelques deces pour le chikungunia (source invs : pour plus de 1 400 000 cas suspects 191 deces)
Des deces commencent a être signalés pour zika
Pour les virologistes ce sont des « vieux » virus
c’est « normal » : plus il y a de cas, plus la probabilité de deces d’observer des décès augmente…
j’en ai parlé a la conférence « quoi de neuf du coté des virus » la semaine dernière

Merci pour le remue méninges
Et bonne conférence

Zika ou la démesure infectieuse

Posté le 09/02/2016 par Evelyne Hayer

Bravo! Bien écrit et avec humour!

Zika ou la démesure infectieuse

Posté le 09/02/2016 par Pr. Patrice QUENEAU

Excellent… !
et les grands prophètes ne sont pas forcément ceux qui font profession de l'être !
Cdt

Réponse à Laurence

Posté le 06/02/2016 par Luc Perino

Il me manque beaucoup d'éléments
S'agit-il d'une forme familiale de cavernome ?
Ces cavernomes ont-il déjà saigné ?
Avez- vous déjà eu une crise d'épilepsie
Faites vous des crise de migraine régulièrement ?
Prenez- vous beaucoup de triptans ?
De quand date votre dernier IRM ?
Sans réponse précise à ces questions, il est bien difficile de donner une avis.
Sachant que les cavernomes qui donnent des symptômes sont les plus rares.
Cordialement

Céphalées

Posté le 06/02/2016 par Laurence

Bonjour. J'ai 2 cavernomes dans les noyaux gris centraux. Mercredi je me suis réveillée a 4h avec un profond malaise et une forte douleur derrière la tête et l'œil gauche. Ensuite j'ai alterné somnolence et vomissement brutal jusque 14h. J'ai aussi saigné du nez en vomissant . Comme je vis seule et que j'étais en état second je n'ai pas appelé de medecin. J'ai juste pris 2 triptans. Pensez vous que c'est Une migraine ou une hypertension intracranienne ? Merci car aujourd'hui j'ai très peur que ça revienne tellement j'étais mal.

Cessez d’insulter les généralistes

Posté le 30/01/2016 par Fabienne Urbain

Je comprends le docteur Perino mais je connais plusieurs personnes qui souffrent de fibromyalgie et qui ont attendu des années dans le doute et la douleur qu'un médecin fasse le bon diagnostic. Quant à moi, je souffre du mal nommé syndrome de fatigue chronique, et je n'ai encore trouvé aucun généraliste qui connaît la maladie alors qu'il existe depuis plusieurs années un consensus international publié au Canada qui reprend les symptômes de la maladie et des directives très détaillées destinées aux médecins. La plupart des médecins posent le diagnostic de dépression nerveuse. Je suis souvent stupéfaite du manque de rigueur scientifique des médecins généralistes.

Réponse à Laurence

Posté le 28/01/2016 par Luc Perino

Si vous avez réellement fait plusieurs crises de sigmoïdites confirmées, la meilleure solution est la chirurgie.

Pour les questions personnelles, je vous suggère d'utiliser le contact direct pour des raisons de confidentialité

Cordialement

Diverticulite sigmoïdienne

Posté le 28/01/2016 par laurence

bonjour ,
depuis fin octobre 2015 j ai fait 3 sejours aux urgences pour crises de sigmoidite impossible de marcher et des douleurs pendant une bonne semaine ma derniere crise remonte au 12 janvier .Depuis je suis sous debridat et metospasmyl et au regime sans residus..
ca me pourrit la vie et je vis sans cesse dans l angoisse d une autre crise.
Etant d un naturel anxieux ça n arrange pas les choses.
TOUS les soirs j ai des angoisses
Comment s en sortir qui consulter
Lundi j ai rdv avec un chirurgien pour avoir son avis

Soyons acteurs de notre santé

Posté le 29/12/2015 par Claude

A Luc Perino,
A tous ses fidéles lecteurs,

Belle et Heureuse Année 2016 !
Acteurs de notre santé, oui !
Usons et profitons sans modération de la Belle et Grande Médecine prônée par Luc Perino.

Réponse à Fawer

Posté le 15/12/2015 par Luc Perino

Pour les épinards et la vit K, vous avez tout à fait raison.
Cordialement

Anémie ferriprive : èpinards

Posté le 15/12/2015 par Fawer

Félicitations pour votre site Internet, je me suis penché récemment sur l'anémie ferriprive pour aider une amie et je tombe sur votre page ou vous mentionnez :

"Les épinards ne contiennent pas plus de fer que la plupart des légumes "

Je trouve que les épinards sont injustement écartés, certes il ne contiennent pas beaucoup de fer, mais ils ont presque le record du monde en vitamine K indispensable pour la cicatrisation et probablement toujours carencée chez les gens trop pressé pour se cuisiner régulièrement des légumes

http://www.scoby.ch/index.php?p=Une-Sante-de-Fer#epinards-contre-perte-de-fer

Or ceci : "Combattre les idées reçues ...Les épinards ne contiennent pas plus de fer que la plupart des légumes " sans parler de la vitamine K et de ses bienfait va écarter certains anémiques des épinard alors qu'ils en ont peut-être extrêmement besoins. Et c'est un véritable phénomène de masse, on assiste à l'abattage en règle des épinards pour leur manque de fer sans souffler un mot sur la vitamine K, et se douter que si la légende a la vie dure, c'est peut-être bien parce qu'elle aidait vraiment les gens qui en consommaient!

J'espère que la tonalité de ce message reste dans les normes, mais je ne vois pas comment exprimer ces choses avec plus d'entregent.

Meilleures salutations, et bravo encore pour votre site très informatif dont j'ai lu beaucoup de pages avec grand intérêt sans rien y trouver à redire.
LF

Truvada, houlala

Posté le 14/12/2015 par Claude

Oh ! l'analyse !
ça s'appelle aller "au fond des choses" !
Merci !

Truvada, houlala

Posté le 06/12/2015 par c harris

Merci pour ce très bon article, qui résume l'absurdité des politiques de santé et démontre que la grande offensive marketing de Gilead devait porter ses fruits quelle que soit la qualité de la fameuse étude (ça me fait penser à Jupiter et au Crestor). Il faut rajouter au problème que le Truvada a un excellent profil pour être revendu au marché noir et donc entraîner une surprescription.

La nutritionniste

Posté le 04/12/2015 par

L'association entre manque d'éducation alimentaire (incluant sédentarité) et obésité pourrait être plus corrélée au niveau socio-éducatif des familles qu'au travail des femmes.
Il doit y avoir des études statistiques sur la question.
Mon expérience personnelle (qui ne remplace pas une vraie étude, mais bon) est que :
- Dans les écoles peu favorisées où enseignent mes amis, de nombreuses femmes qui ne travaillent PAS sont obèses et ont des enfants obèses, car elles sont aussi incapables de faire des menus équilibrés pour elles-mêmes que pour leurs enfants. Si l'on donne accès à ces familles "ignorantes" à des aliments malsains (de plus en plus présents en magasin ces 20 dernières années), l'obésité augmente.
- A l'inverse, dans mon milieu professionnel de cadres, de nombreuses femmes qui travaillent (en particulier dans mon milieu très diplômé) ont des enfants en bonne santé, car l'importance de l'alimentation est bien comprise.

Bref, le travail des femmes me paraît être un raccourci un peu simpliste... Corrélation n'est pas causalité!!

Re : Toxoplasmose, schizophrénie et dépression

Posté le 02/12/2015 par Marcel

Bonjour,
je reprend votre article très intéressant sur la toxoplasmose

"Le fait d’induire ces comportements ne change en rien l’avenir du parasite, car nous ne sommes pas la proie des chats". Mais il me semble que si !

* Dans le cas des souris la souris infectée finit par aimer l'odeur du chat, n'a pas peur etc. donc se fait manger et le cycle continue!
* Dans le cas humain s le parasite réeusi à associer suffisamment d'àlement positifs au chat (odeur, pas de peur de se salir ou de se faire griffer etc.) l'humain aura plus de chance de poséder un ou plusieurs chats, le toxoplasme rendra donc service aux toxoplasmes qui infectent des souris et qui auront plus de chances de se reproduire vu que l'humain favorise les chats.

Si je résume : à mon avis en environ 5000 ans d'interactions le parasite à eu plein de temps pour optimiser ses interactions avec les humains si utiles pour favoriser les chats. Si on fait les calculs on est même plus important que le chats pour le toxoplasme, dans le sens où il y aurait peut-être 10 fois moins de chats sans nous et donc 10 fois moins de toxoplasmes.

Bonjour

Posté le 27/11/2015 par MFT

Soulagement de lire sous la plume d'un médecin des choses qu'on ressent depuis longtemps comme patient. Oui mais après que faire ? et comment trouver un médecin qui partage cette manière de voir ? bref comment avoir confiance ?
J'ai renoncé à aller voir un gynéco après m'être battue contre la ligature des trompes à 36 ans (puisque vous ne voulez plus d'enfant!), le traitement de la ménopause à 50 ans (sinon c'est une période très chahutée! ben non, moi je ne l'ai pas senti passer, et sans traitement), et maintenant la mammo obligatoire sans laquelle ce n'est pas la peine de revenir...
Et je ne vais même plus chez le généraliste de peur d'en sortir (j'ai 68 ans) avec une ordonnance d'un kilomètre, des examens complémentaires à n'en plus finir, et 3 RV chez des spécialistes.
Autrement dit comment trouver quelqu'un qui me soigne si je suis malade et seulement dans ce cas.
Je ne pense pas que vous pourrez m'aider. Je vous remercie quand même. Votre site est revigorant car plein d'humour, ce qui n'est pas interdit sur des sujets graves.

Drogues du terrorisme

Posté le 20/11/2015 par Franck

Deux tonnes de Captagon, drogue plébiscitée par les combattants, saisies en Turquie : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/deux-tonnes-de-captagon-la-drogue-du-conflit-syrien-saisies-en-turquie_1737899.html

Drogues du terrorisme

Posté le 18/11/2015 par A.M. K

Vous ne semblez pas vouloir admettre qu'il peut exister des êtres méchants ou mauvais ou ...
Trouver un plaisir à faire souffrir vous est heureusement étranger; cependant ce type de personnalité existe. Les anciens les dénommaient différemment des actuels psychiatres. Autrefois on estimait que c'était une tendance de personnalité, maintenant ( cf michel Foucault " surveiller et punir") on voudrait que ce soient des malades.
La société leur a trouvé quand c'est possible un exutoire professionnel : ainsi de nombreux intervenants du système pénal présentent ce type de personnalité ,même au niveau de la magistrature.
Votre réflexion concerne le seul passage à l'acte, ce qui est encore autre chose ; et mon commentaire vient en complément.

Drogues du terrorisme

Posté le 17/11/2015 par Emmanuel Venet

Cher Luc Perino,

Merci pour cet envoi, qui rejoint une interrogation personnelle. Il paraît que le mot « assassin » dérive de « haschischin », adepte d’une secte quasi terroriste qui s’enivrait au cannabis avant d’aller tuer ses « ennemis ». On aimerait en effet en savoir plus sur les analyses toxicologiques de ces monstres. Et s’ils fonctionnent à l’eau claire et à l’idéologie c’est encore plus terrifiant…

Amicalement.

Drogues du terrorisme

Posté le 17/11/2015 par Claude

Bonjour,
La vulgarisation, un de vos atouts majeurs prend tout son sens, Facebook divulgue votre article.
Merci d' avoir pointé l'usage des drogues qui n'est,malheureusement, qu'un des composants et pas le moindre ! de telles actions terroristes et barbares.Il semble que cela ait toujours existé et existera encore.
Exterminer les auteurs de tels actes, possible...nécessaire quand il s'agit de préserver nos si grandes valeurs que sont L'EGALITE, la FRATERNITE et la LIBERTE et, quand il s'agit de défendre notre culture .
Exterminer une entité.....impossible..
Merci, respect à nos anciens qui se sont battus et qui sont morts pour avoir défendu nos valeurs .
Respect à tous les Citoyens qui sont morts pour nous, dernièrement.
Je me suis exprimée grâce à votre blog, merci

Drogues du terrorisme

Posté le 16/11/2015 par Franck Viguié

Merci pour ce texte qui donne un éclairage particulièrement "éclairant" et mal connu sur le terrorisme et la barbarie. Malgré leurs convictions savamment entretenues, les fous d'Allah ou de Dieu ont certainement besoin d'une petite giclée supplémentaire pour accomplir les atrocités auxquelles ils se livrent, et au cours desquelles ils savent, accessoirement, qu'ils vont aussi perdre la vie.
Cordialement

Drogues du terrorisme

Posté le 16/11/2015 par M Le Barzic

MERCI pour ce point de vue clair et simplement exprimé, comme toujours :-))
Et merci aussi pour l'humour des chroniques précédentes

Cordialement

Drogues du terrorisme

Posté le 16/11/2015 par Michèle & Jean Claude CHABOCHE

Bonjour Luc
Depuis tous ces événements je pense la même chose sur les drogues mais tu as surement plus de poids pour faire comprendre les choses…..car personnes n’en parle….Amnésie totale.
C’est comme mettre des caméras dans les rues. Nous sommes encore loin de nous inspirer du système de MONACO…….
Bien amicalement

Drogues du terrorisme

Posté le 15/11/2015 par Françoise

Bonsoir
Merci pour cet article très intéressant , surtout son questionnement
Toujours très bien écrits les articles , et ce WE encore plus d'actualité triste
Amitiés

Drogues du terrorisme

Posté le 15/11/2015 par Mireille Podchlebnik

Bonjour,
Merci pour cet article qui soulève des questions sur un sujet qui n'est en effet pas très souvent abordé.Je me suis demandée aussi après les attentats de janvier si les dosages de drogues avaient été effectuées sur les assassins.
La question de l'alcoolisation dans les meurtres de masse a été soulevée au cours de la seconde guerre mondiale, dans le génocide Rwandais et d'autres génocides. J'ai lu des passages intéressants dans ce texte : https://books.google.fr/books?id=iDA9RvGSCp0C&pg=PT76&lpg=PT76&dq=alcool+et+meurtre+de+masse&source=bl&ots=EU9YgINwNo&sig=7SJbipZF-hGe8RFukGCdLr7-zmA&hl=fr&sa=X&ved=0CB8Q6AEwAGoVChMIu56vzOuSyQIVRbwaCh3KlQXV#v=onepage&q=alcool%20et%20meurtre%20de%20masse&f=false

Par ailleurs, j'ai eu l'occasion au cours de recherches de me rendre à l'association du Père Patrick Desbois (Yahad In Unum) et là, dans les témoignages et documents d'archives recueillis par les enquêteurs, sont bien décrits comment les commandos d'Einsatzgruppen était encouragés de façon très organisée avec de l'alcool pour perpétrer leurs meurtres http://www.cclj.be/actu/politique-societe/einsatzgruppen-au-coeur-shoah-par-balles.

Bon tout cela n'est guère réjouissant, je vous joins un poème un peu "optimiste" dans ce contexte dramatique.
Bonne fin de journée


Arbres de vie

Nous sommes
des mots fragiles
et passagers
Inscrits dans un temps
Immuable
Qui poursuit sa course

Nous sommes
des palettes de couleurs
Et des ombres de douleur

Nous ancrons
notre histoire
Au plus profond de la terre
Et sur la terre
Pour mieux nous élever
Au-delà des cieux

Nous sommes
des vies
Unies
Par l’amour et l’amitié

Nous sommes
des arbres
Racines et rameaux
Tissés et métissés

Nous sommes
des Arbres de vie


Mireille Podchlebnik 14 mars 2015

Drogues du terrorisme

Posté le 15/11/2015 par Jean Jacques

Réflexions très pertinentes et intéressantes...

Drogues du terrorisme

Posté le 15/11/2015 par Christian

Merci, vous avez tout à fait raison de soulever ce point, qui doit s'appliquer aux narcos mexicains , eux aussi coupables d'actes barbares.
Très cordialement

Ostéoporose

Posté le 11/11/2015 par Rafael

La fiche d'éducation sanitaire ( destinée aux patients ) sur l'ostéoporose est si excellemment documentée et complète qu'elle en éduque le médecin ( que je suis ). Poursuivez donc mon instruction sur les grands maux chroniques de la société ( trouble dépressif, dyspepsie ) et leurs véritables indications à être traités.
Merci pour vos textes

Maladies de riches

Posté le 28/10/2015 par Jérôme

J'ai adoré !
C'est au vitriol. Ca fait du bien. Ca décape.
Mais moins drôle, prévois-tu tout de même en contrepoint un article à venir sur les maladies spécifiques aux travailleurs de l'enfer sur terre (désamiantage des navires en Inde, mines de soufre à Java, etc..., ouvriers du bâtiment même chez nous, menuisiers :) ouvrières dans les serres en Colombie pour nos jolies roses bien pleines de pesticides, le chrordéchone et les cancers de la prostate aux Antilles, etc... la liste est longue... ) ? Sans doute moins drôle, mais ça contient sa dose d'acidité aussi...

Ostéoporose

Posté le 09/10/2015 par Dr Brunessaux

Excellent !
Bien à vous.

Déplacement du temps zéro

Posté le 08/10/2015 par Dr Jean-Michel BICHOT

Merci une fois de plus pour la pertinence de votre analyse !

réponse à une patiente

Posté le 30/09/2015 par Luc Perino

Il n'y a aucun ordre de priorité, tout est à décider au cas par cas.
Ma préférence va aux TCC dans beaucoup de situations (phobies, manies, anxiété, etc.)

Maladies de riches

Posté le 27/09/2015 par Une patiente

Bonjour,
Très attentive aux divers articles traitant de la nocivité et effets secondaires liés aux antidépresseurs ou autres psychotropes, propos que j'intègre et que j'approuve, je me pose des questions.
Quelles solutions pour soigner vos patients ?
Psychothérapie légère ou lourde, thérapie, médecine alternatives, TCC ou autres solutions telles que citées dans l'article ? :

" Quand la médecine occidentale se penche enfin sur les liens entre le corps et l’esprit "
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/09/21/actions-et-emotions-des-liens-.pour-guerir_4765961_1650684.html#DQVyFMhMMkbzZXJQ.99.

Les traumatismes et souffrances vécus lors de l'enfance ou à tout autre moment de la vie génèrent " inflammation et bouillonnement " au niveau de certains organes. J'en suis personnellement convaincue mais rien n'est soi-disant prouvé ( l'article cité ci-dessus va dans ce sens ) . Et nous voilà avec un corps malade un mental à gérer et une fragilité émotionnelle qui ne fait qu'empirer !

Alors ? que soigner en priorité et COMMENT ?

Cordialement

Réponse à mes six confrères sur les antidépresseurs

Posté le 24/09/2015 par Luc Perino

Je fais une réponse commune aux six confrères qui se sont étonnés de mes propos sur les antidépresseurs (mon forum et le blog invité par le journal « Le Monde »). Précisons que ces propos ne concernent que les ISRS qui représentent la quasi-totalité de nos prescriptions. Ils sont évidemment laconiques dans une chronique de moins de 3000 signes destinée au grand public. Ce point étant, par essence, toujours critiquable !
Les réactions de ces confrères sont compréhensibles et fondées par le fait que nous avons tous prescrit des ISRS et continuons à le faire. Nous avons tous constaté un effet parfois bénéfique sur l’humeur dès les débuts du traitement. Mais pour une telle pathologie, souvent chronique ou récidivante, il faut fonder nos analyses et observations sur le long terme.
Le premier problème définitivement insoluble de la prescription des ISRS est celui du diagnostic initial. La seule véritable indication médicale devrait être la dépression unipolaire qui représente certainement bien moins de 1% des prescriptions. Oui, les antidépresseurs sont un facteur aggravant de la maladie bipolaire. Oui, ils sont inutiles et/ou dangereux dans tous les autres troubles divers et nombreux avec humeur dépressive passagère ou plus durable.
Vous savez, par les nombreux procès aux USA, que les premières études sur les ISRS ont toutes été biaisées et que seules les études positives ont été publiées, alors que les études négatives étaient plus nombreuses. Aujourd’hui encore, nous n’avons pas accès à toutes les données de l’industrie, la collaboration Cochrane ou la revue Prescrire sont obligées de faire des analyses sur des données incomplètes, ce qui explique que même ces revues intègres ont des résultats parfois contradictoires dans le temps. Vous savez aussi que le domaine de la psychiatrie est le plus corrompu par l’industrie et les leaders d’opinion, il a réussi à dépasser la cardiologie et la cancérologie. Certes, cela s’améliore doucement, grâce à ces lanceurs d’alerte que sont Prescrire ou Cochrane, mais, par ailleurs, et comme vous l’avez fait remarquer, l’obscurantisme qui entoure la clinique psychiatrique et qui profite aux sectes diverses, ne fait que retarder les révisions nosographiques indispensables à cette discipline.
Il faut donc nous appuyer sur les méta-analyses à long-terme de publications indépendantes, et sur une plus grande rigueur de nos propres observations cliniques à long terme. Oui, les ISRS améliorent provisoirement l’humeur et soulagent certaines souffrances psychiques. Non, les ISRS ne sont pas des traitements de la dépression à long terme. Non, les ISRS n’augmentent pas les années/qualité de vie.
Ils sont même des facteurs aggravants des humeurs dépressives pour plusieurs raisons. Leur action sur l’humeur est similaire à celle de la cocaïne et ils entraînent une addiction supérieure. Le principal leurre d’efficacité provient du fait que le syndrome de sevrage mime les symptômes d’une vraie dépression. Le patient, comme le médecin, sont alors enfermés dans le piège de la prescription infinie et de la co-prescription avec d’autres psychotropes. Ceci perturbe l’observation clinique et empêche la révision du diagnostic initial.
Oui, les suicides sont plus nombreux chez les patients sous antidépresseurs. Oui, dans les pays où les prescriptions sont le plus importantes, le nombre de diagnostics de dépression et de suicide n’a jamais diminué. Il a parfois tendance à augmenter parallèlement aux prescriptions (malgré les facteurs de confusion). Vous pouvez constater que nous sortons ici du cadre de l’essai clinique pour entrer dans celui de la macro-statistique sanitaire et économique, dont il faut reconnaître qu’elle souligne bien plus précisément l’inefficacité globale des ISRS et invalide le principe même de l’EBM dans un sujet aussi confus cliniquement.
J’ai joint une bibliographie que je peux qualifier moi-même de ridiculement insuffisante pour cette chronique qui ne concernait pas directement les ISRS. Si vous souhaitez une bibliographie bien plus riche contenant les publications les moins industrie-dépendante, vous la trouverez sur l’ouvrage de Peter C. Gotzsche, co-fondateur de la collaboration Cochrane, particulièrement aux chapitres 17 et 18. Ce livre est l’un des rares de cette catégorie à avoir été traduit en français (canadien), il a été hélas assez mal traduit et mal diffusé en France, paradis des antidépresseurs.
Vous pourrez aussi constater que ma courte charge contre les ISRS est bien mièvre et angélique par rapport à celle de cet auteur auquel on ne peut pas reprocher le manque d’intégrité et de sources ! Même les rédacteurs en chef des grandes revues médicales, pourtant toutes dépendantes des fonds de l’industrie, ont fait leur mea-culpa au sujet de leurs publications sur les ISRS.
Je n’ai certainement pas répondu à tous vos doutes et interrogations, ni aux miens. Je me permets de suggérer d’ouvrir bien plus grand nos yeux de clinicien (les miens comme les vôtres) devant les multiples manipulations qui entourent ce sujet. J’ai bien peur que devant l’ampleur de ce problème de la prescription illimitée des antidépresseurs, la réponse médicale et scientifique soit déjà largement dépassée et qu’elle ne puisse plus être que socio-politique ou économique.

Merci pour votre lecture fidèle et attentive qui m’oblige à toujours plus de rigueur.
Cordialement et confraternellement vôtre

Maladies de riches

Posté le 23/09/2015 par Dr Laurent Vercoustre

Ce que vous avez dit sur les antidépresseurs et leur effet aggravant m’intéressent beaucoup, pouvez m’en dire plus ,à partir à quelles données vous faites référence.
Merci

Maladies de riches

Posté le 22/09/2015 par Dr Béatrice Gully

Merci de ce propos dont je partage presque entièrement l'analyse : cela veut il dire que ma fille ainée ( j'ai eu une scopie au premier trimestre de ma grossesse pour cause de mariage )aura une leucémie ? , non ,bien sûr , mais il est de notre droit de nous poser des questions sur notre environnement , notre alimentation , et nos pratiques médicales aussi et surtout car ce qui est un dogme aujourd'hui , sera une bavure regrettable demain , et nous devrons en rendre compte un jour !
Ceci n'est qu'un exemple , bien sûr !
à bientôt de vous lire


Maladies de riches

Posté le 21/09/2015 par Dr Rodolphe Chastel

En complement, vous auriez put aussi parler des conséquences néfastes de la pshychanalyse ' des riches ' qui conduit a des sucides plus frequent quand le pshychiatre ne fait que de la pshychanalyse et refuse d'ettayer ses soins avec une therapeutique per os dans les phases de révelation du malaise de l'inconscient ...
Il s'agit malheureusement de cas vécus dan ma pratique mèdicale dont je parle .
Bien cordialement.

Maladies de riches

Posté le 21/09/2015 par Dr Rodolphe Chastel

Avec tout le respect que je peut avoir et, connaissant depuis quelques années vos humeurs médicales, je me pemet de vous dire que dans ce dernier billet vous dérivés sur des affirmations toutes personnelles non étayées de preuves scientifiques et réalistes sur nos traitements dits " antidepresseurs " mieux utilisées depuis les IRS que les 'anciens' des années 60 à 90 , une modulation des propos dans le temps aurait été plus critiquement honnète et aurait put contribuer a cesser d'agiter le grand épuvantail entretenu par les sectes anti vaccins , anti medicaments ( les scientologues , les adeptes des " église " charlatanesques diverses qui sevissent de plus en plus en europe.)
Bien cordialement.

Maladies de riches

Posté le 21/09/2015 par Dr Florence Mahieux Laurent

Je suis assez surprise de découvrir que les antidépresseurs aggravent dépression et troubles bipolaires.
Je serai intéressée de connaître les travaux scientifiques ayant établi ces faits.
Bien confraternellement

Maladies de riches

Posté le 23/09/2015 par Dr Frédéric Urbain

Oui pour l'ensemble de l'article, avec des éléments très intéressants.
Mais non pour le couplet sur les antidépresseurs : il s'agit d'un discours très "à la mode", lancé par les sectes type "scientologie" qui voient d'un mauvais œil que les médecins soignent les dépressions qui constituent leur "fond de commerce". Pour diverses raisons, soit culturelles soit psychologiques, ce discours est repris par ceux auxquels il convient bien, mais il va à l'encontre de la réalité scientifique.
Si les antidépresseurs doivent en effet être utilisés avec prudence, en fonction de l'âge et des indications, il restent dans l'Episode Dépressif Majeur le traitement de référence avec la psychothérapie, l'un ou l'autre pouvant être utilisé isolément dans l'EDM d'intensité modérée et en association dans l'EDM d'intensité forte. Utilisés à bon escient, ces médicaments sauvent des vies et épargnent des souffrances.
Je précise que je suis médecin généraliste, chercheur, lecteur émérite de "La Revue Prescrire", et que j'ai parcouru les références citées. La revue de la littérature datée de 2008 et qui suggère qu'un antidépresseur (la paroxétine) ne ferait pas mieux que le placebo est intéressante, mais son mécanisme est démonté dans un article ultérieur (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3643832/) qui explique d'une part les causes de l'erreur, et d'autre part les mécanismes idéologiques qui sous-tendent le raisonnement des auteurs.

réponse au Dr Bichot

Posté le 16/09/2015 par Luc Perino

Tous les lymphocytes T sont originaires du Thymus. Ensuite, ils subissent de nombreuse différenciations. Les Th sont les anciens T Helper. Leur importance et leur différenciation provient des cytokines qu'ils produisent. Au niveau des cytokines, la complexification est très grande. On donne souvent des numéros aux cellules t aux cytokines, je reconnais que ce n'est pas très explicite. Les cellules Th17 et les cytokines Il-23 semblent avoir une grande importance en cancérologie.

Cancer, inflammation et microbes

Posté le 15/09/2015 par Dr Jean-Michel BICHOT

Article très intéressant. Une simple confirmation, du moins je l'espère : Ces cellules TH 17 sont elles-mêmes des Lymphocytes TH (Thymo dépendants ) ?

Le cholestérol est un rat des champs

Posté le 08/09/2015 par Dr Jean-Michel BICHOT

Merci de nous faire se poser la question. Le réductionnisme du "réalisme" apparaît encore plus nettement si l'on utilise une autre grille de lecture (un autre paradigme) comme le proposerait par exemple la Médecine Chinoise ou l'Anthroposophie, proposant à notre compréhension une autre grille de lecture des phénomènes pathologiques en incluant et considérant mieux le patient dans son ensemble "macrocosmique" si je puis dire ...

Le cholestérol est un rat des champs

Posté le 07/09/2015 par Jean

Bonjour, bravo pour votre article. Infirmier depuis 20 ans ,en formation hygiéniste en ce moment vos écrits reflètent bien ma pensée.
Bonne continuation, attention à l'ordre et aux lobbies !

Relation médecin patient

Posté le 01/09/2015 par Marie

Docteur Philippe,

Merci de nous faire partager votre témoignage .
Votre analyse est empreinte d'intelligence, de bon sens, de sincérité et d'une grande simplicité. Se remettre en question ! Modeste et humble; en plus ! Merci.
Votre perception de l'empathie, que vous avez redécouverte, était simplement enfouie, ceci ne cache pas la Belle et Grande Humanité qui est en vous.
Les données que vous énoncez sont essentielles, elles confirment ma conception de l'empathie.Les faire siennes et les appliquer subliment la communication.
Carl Rogers ! je vais lire !

Docteur Philippe, belle, belle continuation.
Merci pour la belle personne que vous êtes.
Merci pour vos patients

Relation médecin patient : hors-sujet

Posté le 31/08/2015 par virginie philippe

Bonjour,
je viens de parcourir votre blog très riche et très intéressant, après avoir lu un article sur votre livre dans "Pratiques". Je pense que je me servirai de votre blog pour renvoyer mes patients qui cherchent des informations sur internet, j'aime aussi expliquer, vulgariser, et là où je travaille comme médecin remplaçant, les gens sont humbles et demandeurs d'explications. Ils aiment aussi être compris, parfois je me demande si je peux les aider, surtout quand c'est psychologique ou fonctionnel... et j'ai appris à être empathique. Peut être comme vous le dites, que je l'étais déjà un peu, mais comme une thèse ou une étude le montrait, on perd l'empathie au cours des années de médecine, le contact avec la souffrance humaine (et notre incapacité d'y répondre) nous déshumanise pour ne pas en souffrir...alors j'ai lu, comme vous je pense, j'adore lire, et là personne ne nous embête, et j'ai lu Carl Rogers... et j'avoue, oui, que je n'aurai peut être pas autant changer sans ma fille... qui m'a motivée à lire des livres sur la parentalité bienveillante... mais revenons à Carl Rogers, il explique comment on peut mener une relation empathique même si on a pas l'expérience ( souvent familiale) de ce genre de relation :
_ ne pas juger ce que dit l'autre (donc essayer d'avoir l'esprit neutre, dégagé, s'enlever ses parasites de jugement : il est comme ça, elle doit être comme ça!)
_ essayer d'en savoir le plus possible , de le comprendre au mieux en posant des questions ouvertes, l'autre personne ne peut pas répondre par oui ou par non, elle s'explique alors plus facilement
_ reformuler ce qu'on a compris ( sans jugement toujours) pour être sûr qu'on est bien sur la même longueur d'onde et souvent à ce moment-là, quand la personne écoute l'autre lui raconter son problème ( ou son histoire de vie), elle trouve elle-même son problème !
Le plus difficile est de ne pas juger, et parfois la langue française tend à nous faire dire des jugements, tellement elle est statique : "les gens sont" alors que l'on s'approcherait plus de la vérité si on disait que'"ils sont en train de faire" quelque chose suivant leur besoin... je préfère leur redire alors que ce que je disais n'était pas un jugement, que chacun est libre de faire ce qu'il veut...
Ensuite, cette façon de mener les entretiens est beaucoup plus reposante, surtout quand on a pris l'habitude, car c'est la personne qui trouve ses solutions !
Finalement, les gens se sentent bien car ils ne sentent pas jugés, ils se libèrent parfois d'un poids, en sachant que rien ne leur sera reproché...
Bon, alors depuis que je fais ça, j'ai entendu des histoires assez impressionnantes, un jour peut être je les écrirai en les déformant encore un peu car il n'y a pas une vérité, il y en a plusieurs... surtout dans les souvenirs !
Et c'est bien dommage que Carl Rogers ne soit pas enseigné dans les universités, on commence à parler de la relation empathique, c'est déjà ça... et de même les livres d'Heim Ginott devraient être lus par tous les pédagogues dans la relation parent-enfant....
Merci encore pour votre blog, j'y reviendrai !

Réponse à Cath Harris

Posté le 17/08/2015 par Luc Perino

Je ne souhaite supprimer aucun antalgique, car chacun a sa place.
La morphine est indispensable dans des indications très limitées et elle n'est hélas pas moins addictogène qu'il y a quarante ans.
Le problème commun à tous les champs pathologiques est l'extension des indications.
La douleur est un domaine où la preuve clinique est difficile à faire. La seule information reçue est celle qui a été gérée par les industriels, ce qui est un très faible niveau de preuve.
Enfin, dans le domaine de la douleur les thérapeutiques non médicamenteuses sont guère explorées malgré des résultats parfois surprenants surtout en pédiatrie.
Je vous encourage aussi à consulter la bibliographie jointe à cet article.
Cordialement

Toxicomanie sur ordonnance

Posté le 16/08/2015 par cath harris

Bonjour,
Que faut-il faire alors pour les douleurs rebelles au paracétamol ? Sans dextropropoxyphène on passe directement au tramadol, qui ne paraît pas moins addictogène que la codéine.
Il reste les AINS à condition de les supporter, ou sinon apprendre à supporter la douleur chronique, ce à quoi nous n'avons été préparés ni comme patients ni comme soignants.
La morphine est beaucoup mieux admise qu'il y a 30 ou 40 ans, alors que son administration était réservée aux personnes en phase terminale, et toujours en sous-cutané de peur de l'addiction (!!).

Elle s'administre maintenant en intraveineux dans les douleurs aigües, et de façon plus courante à l'hôpital et à domicile, par voie orale ou transcutanée pour les douleurs chroniques (les patches).

J'ai 60 ans, et je n'ai encore vu aucun patient morphinomane, ni aucune collègue non plus, alors que les accros à la codéine deviennent des accros au tramadol. Précisons aussi que la morphine (skenan, moscontin) est plus facile à administrer chez les personnes âgées, qui réagissent souvent moins bien au tramadol.

Il faudrait donc laisser les douleurs aigües se tasser et oublier les douleurs chroniques ?? Quel peut être le nombre de morphinomanes en France, si l'on excepte l'addiction à la codéine ou au tramadol, qui paraît vraiment poser problème, et voudriez-vous supprimer les antalgiques de palier 2 et 3 ?

réponse à bjr

Posté le 15/08/2015 par Luc Perino

Pour les questions médicales personnelles, n'utilisez pas le forum, contactez-moi par mail direct

Vaccins en général et en particulier

Posté le 16/07/2015 par Raph

MERCI et BRAVO pour cet article d'utilité publique que je découvre fortuitement ! C'est LA mise au point que j'espérais et avais cherchée en vain.

3 maladies auto-immunes

Posté le 11/07/2015 par

Bjr
Je cumule 3 maladies
Tyroidite d'Hashimoto
S.E.P
Bronchite a éosinophiles
Je n'avais été malade qu'une fois a 10 ans d'un RAA, je ne sais pas comment en sortir pour essayer des analyses permettant d'identifier un manque ds mon organisme.Y a t il qqun a qui c'est arrivé et qui a trouvé la solution?
Merci

Réponse à Marie Bénédicte

Posté le 21/05/2015 par Luc Perino

Bonjour,

Merci de votre fidélité et de votre confiance.
Le Pr joyeux mélange deux problèmes.
Cet amalgame n’est pas digne de la rigueur scientifique d’un universitaire.

Il a absolument raison en disant que la pénurie du DTP est orchestrée par l’industrie pour pouvoir vendre un vaccin plus cher.
Il faut se battre contre cela
Mais en signant sa pétition on cautionne les sectes antivaccinales qui veulent faire croire à la myofasciite à macrophage ou au risque de scléroses en plaques

La myofasciite à macrophage est une pure invention ou une lésion si banale qu’elle ne mérite aucune étude.

Le vaccin anti-hépatite B n’a jamais favorisé la sclérose en plaques
Aucun vaccin ne peut provoquer une maladie auto-immune, mais tous les vaccins peuvent modifier provisoirement le cours de toutes les maladies auto-immunes existantes puisque ces maladies sont par définition sensibles à toutes les fluctuations immunitaires. Le sujet est complexe et c’est une malhonnêteté d’utiliser la méconnaissance des profanes et leur anxiété naturelle.

Mais il n’en demeure pas moins vrai que l’industrie a des méthodes très répréhensibles et que le ministère est laxiste.
Il faudrait une pétition rien que pour cela et non pour soutenir des fadaises.
C’est tout l’art de l’amalgame où excellent les sectaires.

Espérant avoir répondu à votre attente

Cordialement

Pétition du Pr Joyeux

Posté le 21/05/2015 par Marie Bénédicte Martel

Bonjour,
Je reçois "aléatoirement" vos messages que je lis très attentivement. Merci. Je vous avais écouté lors d'une conférence à Villeurbanne.
Je suis assez troublée par le message du Pr Joyeux et sa pétition. Je suis globalement favorable aux vaccinations qui ont été un sacré progrès quand même! (j'ai 70 ans et j'ai bien entendu parler par mes parents des cas de polios et tétanos" à l'époque."....)
Que pensez-vous de cette pétition?
Votre avis me serait précieux......mais peut-être pour d'autres aussi! dans votre emploi du temps certainement très serré.

Merci en tout cas et recevez mes meilleures salutations.

Coucou la socialité de la GPA

Posté le 18/05/2015 par Isabelle

Un bonheur vos humeurs.
Merci

Coucou la socialité de la GPA

Posté le 17/05/2015 par Corinne

merci pour ce billet qui apporte un peu de distance et fait sourire car il faut beaucoup d'humour quand la souffrance des uns autoriser à penser la traite des autres comme légitime

réponse à Cath Harris

Posté le 23/04/2015 par Luc Perino

Le BCG est un vaccin qui permet de diminuer le nombre de formes graves de tuberculose. Il n'a jamais permis d'éradiquer la maladie.
La tuberculose est souvent un indicateur de misère sociale, le vaccin est conseillé chez les migrants et dans les classes défavorisées. Le vaccin retrouve un peu d'intérêt avec les souches multirésistantes de BK !
Pour la rougeole, si la couverture vaccinale est correcte, on peut éradiquer la maladie, car le vaccin fait partie des vaccins efficaces.
Il y a eu beaucoup de littérature sur les vaccins antigrippaux. Les effets secondaires suspectés ne concernent qu'une marque peu utilisée chez nous ?? Oui, c'est vrai, Tom Jefferson a raison, les vaccins antigrippaux sont peu efficaces, comme je l'ai précisé.
Vous avez raison, la communication autour des vaccins est très mal faite des deux côtés.
Cordialement

Vaccins en général et en particulier

Posté le 23/04/2015 par cath harris

Bonjour,
Pourriez-vous préciser l'importance du BCG pour la santé publique ? Il n'y a qu'en France qu'on lui reconnaisse encore, et de moins en moins, une vague efficacité sur la transmission de la tuberculose ou son évolution.
Laissons de côté le problème complexe de la rougeole, dont il n'est pas si évident que la vaccination atteigne son objectif, pour arriver au vaccin contre le HPV, dont vous affirmez qu'il est sans danger ni effets secondaires (!!!) et qui bien sûr ne fera pas émerger de nouvelles souches virales dans cette population nombreuse et mal connue : il suffit effectivement d'attendre une vingtaine d'années et nous pourrons constater ses effets positifs et négatifs après avoir assuré une rente à ses producteurs.
Avez-vous eu connaissance de la meta-analyse de Tom Jefferson sur l'efficacité et les effets indésirables du vaccin antigrippal lors de la fameuse pandémie ?
Ou sont les preuves concrètes de l'efficacité du VAG, du Gardasil et de bien d'autres vaccins fort coûteux ?
Le problème des vaccins est précisément le manque de littérature de qualité et de contrôle sur ce créneau d'avenir pour l'industrie, et cette redoutable langue de bois qui interdit toute critique sérieuse sous peine d'être taxé d'anti-vaccinalisme primaire.

Attaque de panique

Posté le 09/04/2015 par Jérôme

Bonjour,
En juin 2009...Le 24 exactement, alors que je préparais les dernières "formalités " en vue d'une réunion de direction programmée mensuellement je me suis écroulé sur le sol sans aucune alertes préalables. Perte de connaissance fulgurante engendrée par une douleur thoracique aiguë et une impossibilité totale de maîtrise. J'ai pensé que j'étais victime d'un infarctus.
Cadre surmené, dans ma tête cela était évident.
Samu...pompiers...coeur en tachycardie...170...la goerge serrée...impression de partir! Diagnostique, attaques de paniques aiguëes C'est quoi cette bête!
Je suis rentré chez moi et puis rechute encore plus sévère.
Hopitalisation durant 15 jours. Examens complet. A ce stade l'on devient hypocondriaque par méconnaissance.
Et la chute brutale dans une sorte de dépression.
5 à 6 crises par jour sont physiquement et surtout psychologiquement terriblement fatiguantes et déroutantes.
Ont suivit des séances expliquant les causes et effets. Mais après de longs mois de thérapie afin de comprendre ce mécanisme si violent et sournois, l'on apprend à connaître son corps, ces limites, cela passe par une connaissance de soi même.
Mais si cela reste une expérience très douloureuse, elle doit permettre de nous enseigner les fondamentaux et surtout la perception que nous avons de la vie.

réponse à Alice

Posté le 08/04/2015 par Luc Perino

Pour des demandes sur un cas personnel, je vous suggère de ne pas utiliser le forum. Il est préférable d'utiliser le menu "contacter Luc Perino" pour plus de discrétion
Cordialement

Intolérance au lactose

Posté le 07/04/2015 par Alice

Très interessant l'article sur l'intolérence au lactose, mais je m'interroge sur la partie III: l'allaitement ne protège pas de telles manifestations puisque mon bébé, allaité exclusivement pdt 6 mois, a eu des réactions diverses (lethargie, eczema sévère, RGO...) toutes liés à ma consomation de laitage. Est-ce alors parce que mon BB est APLV (prouvé par la suite par des tests et prises de sang) et non pas uniquement intolérent ?

Diverticulite sigmoïdienne

Posté le 02/04/2015 par Denis

Docteur,
je vous remercie d'avoir rédigé la note sur la 'DIVERTICULITE SIGMOÏDIENNE'
Agé de 50 ans, je viens juste d'en subir les symptômes, et me demandait quelle régime alimentaire adopter
Pléthore d'articles sont écrits, mais avec tellement de liens hypertextes, et tellement de précautions dans les rédactions.......
Alors que le votre est clair, raison pour laquelle, une fois encore je tenais a vous remercier
Cordialement

Réponse à Laure

Posté le 31/03/2015 par Luc Perino

Laure,
pour les problèmes qui relèvent de votre vie intime et du secret médical, je vous encourage à éviter le forum et à me contacter directement.
Même si la télémédecine est difficile pour les problèmes psychiatriques, j'essaie toujours de répondre quand je peux.
Cordialement

Pharmacologie du suicide

Posté le 31/03/2015 par Marie

Merci Luc de nous donner la possibilité de nous exprimer.
Merci d'informer et d'alerter devant ce vaste et grave problème qu'est la dépression, source de dysfonctionnements physique, mental et psychique.
Le traitement médicamenteux ne s'apparente qu'à une béquille qui met au repos la réflexion et apporte un semblant de détente mentale.Traitement difficile à gérer mais dont les patients sont demandeurs.
Soigner la dépression n'est possible qu'en l'absence de déni.
La dépression majeure ou mineure résulte souvent de la non-résolution de problèmes en amont, d'évènements traumatiques, de l'acceptation d'un mode de vie, de concessions, de valeurs qui ne sont point les nôtres mais auxquels on a consenti par non-affirmation de soi, par manque de confiance en soi ou...par facilité.
La dépression est l'alarme qui doit nous pousser à prendre conscience de notre propre existence et de qui on est.
Une introspection "violente", un travail sur soi est obligatoire par lesquels le sujet trouvera cette force enfouie qui lui permettra de prendre conscience qu'il existe en tant qu'être unique et libre avec sa propre vie à gérer, selon ses valeurs,
qu'il dispose de sa liberté,
qu'il n'appartient à personne et que quiconque n'a aucun droit sur sa personne,
et qu' il doit être respecté en tant que tel.

Cheminement douloureux, difficile,délicat, demandeur d'énergie, de volonté, de force, de franchise envers soi, de simplicité mais..oh !...combien libérateur !
Réflexion comprise ou incomprise, approuvée ou rejetée.
Réflexion inspirée du vécu...oui.

Provenance et moyens de soigner les dépressions que je qualifie de chroniques ?

Pharmacologie du suicide

Posté le 31/03/2015 par Laure LE MEITOUR

Merci, merci enfin une vérité écrite : pendant plusieurs années j'ai fait une sorte de dépression suite à un 2ème suicide dans ma famille ; mon père s'est suicidé j'avais 17 ans, et mon frère à l'âge de 38 ans s'est aussi suicidé j'avais 36 ans et je venais de donner la vie à mon 3ème enfant, je n'ai pas été soutenu par mon entourage bien au contraire, je suis plutôt forte, mais les années passant !! je n'acceptais pas que mon frère soit mort tout seul, je ne suis jamais malade, mon dernier est né à domicile avec une sage femme, j'ai toujours cherché des solutions naturelles pour me soigner ainsi que mes enfants, mais là convaincu d'être en pré-ménopause précoce depuis au moins 7 ans, qui m'envoie dans des états de tristesse et fatigue difficile, j'en ai bien sur la preuve aujourd'hui par analyse !! un gynéco qui me dit bah oui vous y êtes et alors !! prenez-moi cette progestérone et si c'est pas assez doublez la dose !! j'ai commencé à utiliser l'alcool comme anxiolytique mais les années passant et était bien consciente, j'ai voulu solutionner ce problème (père dépressif-alcoolique et donc suicidaire avec passage à l'acte), je me suis faite hospitalisé en clinique il y a presque 18 mois, 3 semaines, là médocs anti-dépresseurs, anxiolytiques, wahou 48 heures à dormir, là je dis "ho ho baissé moi toutes ces doses c'est trop fort pour moi" au bout de 3 semaines je rentre chez moi, pas le choix personne pour garder mon fils, au bout de 10 jours je rebois quelques verres, etc... jamais je n'avais tenter de me suicider malgré des périodes de grandes difficultés et souffrances (j'ai élevé mes 3 enfants seules et travaillé toute ma vie), là le 10 février 2014 j'ai avalé toutes les boites de médoc qu'il me donnaient j'ai bien failli y passer !! je reste aujourd'hui convaincu que ce passage à l'acte est le résultat de leur traitement, je suis partie 6 semaines dans un centre VALPYRENE, réhabilitation par le sport (APA), sous anti-dépresseur léger après beaucoup de négociation de ma part !! criant tant que je peux que je souffre beaucoup de cette pré-ménaupose, je ne bois plus du tout d'alcool et n'en ai aucune envie depuis plus d'1 an, je suis en train d'arrêter l'anti-dépresseur depuis plusieurs mois aujourd'hui je prends la moitié de la moitié de 37.5 mg d'effexor, je prends de la progestérone naturelle, et j'ai démarré un peu de DHEA naturelle depuis un mois, depuis cette phase enfin je me sens plutôt bien mais très fatiguée alors que la motivation est là, je gère mieux mes émotions, enfin pour dire j'ai bien failli devenir totalement alcoolique, j'ai bien failli mourir, mes 2 filles ne me pardonnent pas cette phase de dépression ??? pouvez-vous me répondre ? me guider un peu ??

Pharmacologie du suicide

Posté le 30/03/2015 par Colin

Et si on compte aussi les morts indirectes des antidépresseurs, ils viennent de faire encore 150 morts dans le crash de l'A320

Lifting et Viagra®

Posté le 16/03/2015 par Mireille

Un appariement peut-être réussi mais pas très tentant!
Merci pour cette lecture.

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La phrase biomédicale aléatoire

La clinique n'est pas une science et ne sera jamais une science, alors même qu'elle usera de moyens à efficacité toujours plus scientifiquement garantie. La clinique ne se sépare pas de la thérapeutique et la thérapeutique est une technique d'instauration ou de restauration du normal dont la fin, savoir la satisfaction subjective qu'une norme est instaurée, échappe à la juridiction du savoir objectif.
― Georges Canguilhem

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