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Forum médical

Pour des questions médicales personnelles, veuillez plutôt contacter Luc Perino en donnant des précisions.

Progrès de l'abstention dans la rhino-pharyngite

Posté le 14/12/2018 par Dsl

Merci pour ce rappel salutaire en cette saison.
Deux remarques : corrélation n’est pas causalité, ce qui veut dire que si l’épidémiologie nous informe sur les caractéristiques de la population c’est seulement en terme de corrélation pas de causalité
En supposant la causalité acquise, le remède n’est pas plus simple allaitement maternel, statut social et sommeil de qualité ne se prescrivent pas, contrairement aux antibiotiques !

Progrès de l'abstention dans la rhino-pharyngite

Posté le 14/12/2018 par Massé Jean François

En restant vigilant tout de même quant aux difficultés scolaires en lien avec des retards de langage en lien avec un déficit auditif en lien avec une obstruction tubaire chronique. Les différences purement anatomiques rendent probablement compte, pour partie, de certaines propension à l'encombrement rhinopharyngé et donc tubaire. Même si vers l'âge de 6 ans les espaces anatomiques deviennent suffisants pour éviter cet encombrement, 6 ans c'est assez tard.

Contagion de la violence : en médecine comme dans la rue

Posté le 07/12/2018 par segonnes

faut il encore que le soignant ait appris à faire autre chose car dire aux patients vous n’avez rien est improductif et va à l’encontre de la nature humaine ( et probablement animale ) qui pousse à chercher un remede pour soigner ...

Contagion de la violence : en médecine comme dans la rue

Posté le 07/12/2018 par

Bon article sur le mimétisme, largement étudié par René Girard.
Il faut cependant aller fouiller un peu plus loin. Car il y a toujours un premier passeur à l'acte. Il fonctionne comment celui-là ?
Quelque chose va être dit là dessus dans la prochaine LEM ( www.exmed.org )quelque soient les événements de samedi dans les villes.

Réponse à F Paturange

Posté le 27/11/2018 par Marie

Tact et respect ne qualifient pas certains propos parus dans les commentaires.
Ma dignité et mon amour-propre de femme dénigrent la vulgarité du terme "engrosser".
Toute maternité de quelque façon qu'elle soit vécue ou conçue mérite un immense respect.

Brève pharmacologie de la longévité

Posté le 27/11/2018 par Marie

Oui, encore une fois; une analyse extrêmement claire, juste avec des termes choisis.
Quelque soit le sujet traité toujours beaucoup de tact et de respect.
Merci....

Brève pharmacologie de la longévité

Posté le 22/11/2018 par Hélène ALTHERR pharmacienne formée en nutrition & hygiène de vie

Bonjour,
excellent, une fois de plus!

Des études paléo-anthropologiques avancent pour nos ancêtres du paléo une espérance de vie à 45 ans d'encore une vingtaine d'années!
Lire aussi le Dr Weston PRICE.
D'autres ont étudié des peuples chasseurs-cueilleurs qui nous sont contemporains, ne faisant aucunement appel à la médecine moderne : ils comptent des quasi centenaires! (Gurven, Michael & Kaplan, Hillard (2007). Longevity Among Hunter- Gatherers: A Cross-Cultural Examination. Population and Development Review. 33; 321-365

Et les centenaires d'Okinawa ont commencé à enterrer leurs enfants, malgré le système de soins japonais plutôt à la pointe...

On pourrait là aussi en conclure que l'énorme arsenal de nos médecines occidentales ne semble pas apporter grand bénéfice en terme d'espérance de vie (hormis la période de forte mortalité de la petite enfance)...
Et qu'il serait bien plus judicieux de se pencher sur l'épigénétique...

Brève pharmacologie de la longévité

Posté le 22/11/2018 par Massé Jean François

Comme quoi la corrélation entre la couverture sociale et la dépense individuelle est, elle aussi, interrogée par les chiffres des USA. Lesquels indiquent,il me semble et contrairement aux dires des opposants à la CMU (qui parlent carrément de causalité), que plus on paie cher sa couverture, plus on dépense, dans une espèce de retour à l'investissement dévoyé...
jf m

Brève pharmacologie de la longévité

Posté le 22/11/2018 par Federmann Georges Yoram

Lu dans un des Géo de cette année sur le bonheur dans les pays scandinaves associé à la plus grande consommation d' antidépresseurs.
Pour vivre heureux , vivons au Nord est d' Ostende, caché et cachetonné...

Diverticulite sigmoïdienne

Posté le 20/11/2018 par mina

bonjour
après une sigmoïdite diverticulite sans perforation, le traitement est antibiotique
attention, le régime sans fibre peut provoquer un fécalome ce qui n'est pas plus agréable
donc rester modéré dans le régime après la phase d'inflammation de 8 jours

N’épousez pas de vieux messieurs

Posté le 16/11/2018 par F Paturange

rien n'empêche une jeune dame d'épouser un vieux pour la sécurité et de se faire engrosser par un jeune fringant

N’épousez pas de vieux messieurs

Posté le 15/11/2018 par Guillaume Lachenal

Merci! J’ignorais complètement cela. Ce sont donc les hommes qui ont une horloge biologique…

réponse à Bruno

Posté le 15/11/2018 par Luc Perino

Oui, bien sûr

Adaptations des populations au froid

Posté le 15/11/2018 par bruno

Cette adaptation concerne les hommes

Consistance des maladies virtuelles

Posté le 05/11/2018 par Emmanuel VENET

Bonjour,
Globalement je suis d'accord avec vous, mais je me souviens d'une amie traitée (lourdement) pour un cancer du sein asymptomatique découvert au dépistage, et qui me disait que se faire soigner relevait d'un "acte de foi". Difficile de ne pas voir là un progrès, non ?
Merci en tout cas pour vos réflexions roboratives.

Toux de l'enfant

Posté le 03/11/2018 par Cécile

Ne pas donner de miel à un bébé de moins de un an. Dans de rare cas cela peut être mortel...

Consistance des maladies virtuelles

Posté le 01/11/2018 par Philippe haudebourg

Et que dire de la fibromyalgie qui ne présent aucun signe clinique et radiologique, du 'burn out' dont le diagnostic est laissé à l' appréciation du client, et de bien d'autres pathologies bidon..

Amicalement

Consistance des maladies virtuelles

Posté le 01/11/2018 par Martine Naffréchoux-Multon

"Ce n’est plus le patient qui vient proposer au médecin des symptômes vécus dans l’espoir qu’il ne s’agisse pas d’une vraie maladie, ce sont les médecins qui proposent des pathologies virtuelles que le patient va alors vivre comme de vraies maladies." Je souscris entierement a cette analyse. Toutefois, a la poursuite du mieux plutôt que du simple bien, je proose de revenir sur un travers constant - difficile à eviter pour le medecin comme pour le patient - de la medecine, surtout de la medecine de specialiste. Par exemple, je me suis trouvée precipitée dans 10 ans de sollicitude psychiatrique invalidante par un jeune et sympathique psychiatre enthousiaste de l'alors nouveau traitement des depressions par le lithium. M'abusant et l'abusant par mon recit d'un etat morose sans cause apparente, je suis trouvèe intoxiquée par un exces sur un long terme de psychotropes varies - prescrits (si celui-ci ne marche pas, ajoutons cet autre et augmentons la dose, passons des antidepresseurs aux neuroleptiques, etc). Il m'a fallu bien du temps après avoir frôle l'invalidite et bu bien des avanies pour realiser que je reagissais a des malheurs objectifs (separation traumatique, rivalites feutrées au travail, et violentes en famille, hyper-tranquilisation) et apprendre (livres, sites, temoignages qui se multiplient - est ce seulement une nvelle vogue ?) que les traumatismes psychiques ne relèvent pas des soins prevus pour les maladies psychiatriques. J'ai fini par trouver un ou deux soignants non-routiniers (quine reprennent pas automatiquement les diagnostics et traitements prescrits par les precedents), identifié des sources d'information où je reconnais mes difficules (episodes inattendus et heureusements rares de derealisation et de surcroit intoxication medicamenteuse sur prescription). Je suis sur des pistes de recherche où je trouve des descriotiis non ambigues ni forcées de ce que j'ai precisement vecu. C'est bien d'être devenue lucide mais on ne peut pas tout toute seule. Si on peut s'exercer a reprendre pied dans la realite quand on se sent decoller (tech. Behavioristes), il me parait abusif de monopoliser une aide psychotherapeutique plus urgente pour des personnes gravement et fraichement touchées. Les derniers " faits" remontent pour moi a 20 ans d'ici et j'ai depuis longtemps acquis bcq de flegme /d'experience pour ignorer et repousser les "flashes".
Bref, j'ai apprecie dans mon enfance une medecine de famile (mais passionnee et savante) qui negociait pendant la consultation l'elaboration d' un point de vue commun reprenant constatations (de visu et de tactu) du medecin et plaintes du malade. Cette maniere de pratiquer et le temps pour le faire n'existent plus. J'espère dans la mise au point de nouvelles manieres d'aboutir a un tel consensus. Eduquer le patient a discerner les indices utiles pour le diagnostic et l'application du traitement. Lui faire comprendre de façon adaptee a son ignorance ce qui se passe sans l'endoctriner de force . S'efforcer d'obtenir l'adhesion du patient au traitement et lui permettre de contrôler son efficacite sans soumission magique aux prescriptions. Aller vers une cooperation eclairée, entre adultes, peut on l'espérer des medecins et des patients ?

Consistance des maladies virtuelles

Posté le 31/10/2018 par Siary

Voilà pourquoi dés la formation initiale il faut former les étudiants aux risques de la surmédicalisation avec les sur diagnostics et les sur traitements . Or on sait que la formation initiale comme la formation continue est largement influencée par l'industrie pharmaceutique .
Donc c'est un travail de longue haleine

Consistance des maladies virtuelles

Posté le 31/10/2018 par François-Marie Michaut

" Moi, madame, je suis malade. La preuve, c'est que je suis sous traitement "
Et oui, on en est là dans un monde où règne la maladie de la valeur ( lire Max Dorra, écrivain et professeur de médecine interne à Paris). Ecoutez-donc les gens qui se rencontrent sur un marché ou dans un banquet. Ils ne parlent que de leur ( possessif de choc) maladie. Le vieux Balint nous l'avait dit. Les bénéfices secondaires de la maladie, et pas seulement les arrêts de travail.
Mais la manipulation des tiroirs caisse à tous les niveaux des parcours ( admirez le choix topologique du mot ) de soin est un réflexe pavlovien bien difficile à infléchir. Nous ne sommes que des humains !

Prurit ou démangeaison

Posté le 30/10/2018 par BERNARDONI Christine

Merci infiniment pour votre message Dr Perino, il m'est d'une grande aide.
Votre lucidité sur la pratique de la médecine actuelle en France semble tout à fait salutaire.J'avoue être souvent en marge des pathologies classiques et cela confond nombre de professionnels de santé. Bizarrement le seul praticien qui semble "capter" ce qui se passe dans mon corps et qui le soulage du mieux qu'il le peut, est un jeune et
brillant ostéopathe . Mais il n'est pas médecin n'est-ce pas?
De vous à moi et non sans une certaine dose d'humour, je me demande si je ne serais pas "allergique à moi-même". Maladie auto-immune peut-être mais comment nommer la propension qu'a mon métabolisme à "râler" à tout va. Car il n'y a pas que le prurit. On était sur la piste d'une neuropathie des petites fibres, du syndrome de Goujerot Sjögren, mais examens pas concluants.Alors je reste avec mes douleurs soient idiopathiques soient neuropathiques.
Ceci dit je suis en bonne santé Docteur, pas l'ombre d'un diabète, d'un cholestérol, d'un risque de cancer (enfin à priori), d'une pathologie cardiaque ,je ne fume pas, ne bois pas d'alcool!!!

En tout cas merci mille fois d'avoir pris le temps de m'écrire.
Merci pour votre blog qui est terriblement instructif et indispensable.

Bonne journée

Réponse à Christine

Posté le 28/10/2018 par Luc Perino

Bonsoir

Merci pour votre message et votre confiance.
Je vais essayer de répondre ce que je peux, bien que ce soit très difficile, ne vous connaissant pas.

En médecine, on a pris l’habitude de nommer « psychogènes » tous les symptômes dont on n’arrive pas à trouver la cause.
Céphalées, psychogènes, douleurs abdominales psychogènes, etc.
Le prurit ne fait pas exception
La question sans réponse est la suivante : les prurits psychogènes sont-ils vraiment psychosomatiques ou sont-ils le fait de notre ignorance ?
Il est bien évident que la médecine et les médecins ont de la difficulté à reconnaître leur ignorance.
C’est la cause incessante de conflits entre médecins et patients, tout particulièrement entre spécialistes et patients.

Dans votre cas, avant de conclure, il faut peut-être faire une liste exhaustive de tous les médicaments que vous prenez, soit par prescription, soit par automédication, soit par des médecines alternatives.
Il faut vérifier les composés chimiques de votre habitation, de vos produits de toilette, de ménage, de lave-line, vos cosmétiques, etc.
Ces enquêtes sont si difficiles que ni les patients ni les médecins n’ont la patience d’aller jusqu’au bout.

Si on ne trouve vraiment rien, il ne faut certainement pas aller voir un psychiatre, mais il faut essayer de « tromper l’adversaire », comme on le fait pour les acouphènes en écoutant de la musique.
J’avoue que je ne sais pas comment « tromper » un prurit : courir pour transpirer, écouter de la musique, réciter des poèmes, regarder un film.
Je ne sais vraiment pas. Seule vous trouverez la solution.
Mais il ne faut pas compter sur les médecins pour la trouver à votre place.

Il faut aussi penser à des maladies auto-immunes de la peau, rares et peu graves. Les maladies auto-immunes ne sont pas toutes graves, et souvent in-diagnosticables !

Je suppose que vous avez déjà dosé vos plaquettes et vos globules rouges.

Voilà. Et désolé de ne pas pouvoir vous aider davantage.

Cordialement

Prurit ou démangeaison

Posté le 27/10/2018 par Christine

« Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ? »-Dr Knock

Et bien les deux mon général!! L'article est fort complet. Maintenant je sais TOUT sur le sujet, sauf que...
Je suis précisément un cas "complexe" qui présente des prurits que je qualifierais d'aléatoires, pas de diagnostic d'une quelconque maladie de peau, mais je subis des crises aigues comme en ce moment. Alors ça gratouille, ça chatouille, ça brûle. Pour un peu on ferait porter le chapeau au stress, cause de tous les maux de notre société moderne. Sinon "c'est dans la tête", y'a pas de raison que...alors n'en faisons pas tout un fromage. Et bien si je veux comprendre et traiter, si ce n'est pas trop demander. Du coup cher Monsieur, par où commencer la prise en charge de mon cas, quel professionnel de santé suffisamment patient, ouvert à tout ce qui sortirait de l'ordinaire du diagnostic clé-en-mains? Personnellement je rêve d'un médecin qui à un moment saura dire en toute simplicité "je suis désolée je ne sais pas ce que vous avez, je suis incompétent", plutôt que d'entendre des remarques sur le fait que je suis en surpoids (donc c'est ma faute, je n'ai qu'à maigrir et je m'en porterais mieux) ou bien "allez voir un psychiatre".

Réponse à bluerhap

Posté le 25/10/2018 par Luc Perino

Toutes mes chroniques sont publiées sur les blogs invités par Le Monde.fr. Ils sont parfois postés en page santé, mais celui-ci ne le sera pas.
Allez comprendre pourquoi !

Très chères minutes de vie

Posté le 25/10/2018 par Bluerhap

Et bim ;-) ! Ca va paraître dans "Le Monde", cet article ?? Si tu réponds "oui", je vais peut-être envisager de m'y réabonner

Très chères minutes de vie

Posté le 24/10/2018 par Federmann Georges Yoram

incisif , lucide et didactique

Très chères minutes de vie

Posté le 24/10/2018 par François-Marie Michaut

Très bel, juste et courageux article.
La marchandisation sans borne des maladies est une plaie majeure pour le public.
- lui faire peur en permanence pour mieux lui tirer des sous est un abus de pouvoir qui est un délit puni par la loi.
- l'ambiance générale bien entretenue de la peur des maladies et du culte immature du "risque zéro" est hautement dépressiogène.
- l'encouragement de fait de nier la mort est une deshumanisation majeure.
Faut-il alors militer pour que soit reconnu comme partie intégrante du respect de la vie le respect de la mort ? Réhabiliter la mort, l'idée est idiote ?

Très chères minutes de vie

Posté le 24/10/2018 par Massé Jean François

Bravo ! Trois fois bravo. Enfin une prise de position qui dit que "le roi est nu". A diffuser+++
Le coût des anti-cancéreux est à rapprocher de celui des "anti-Alzheimer" (enfin déremboursés) et ces budgets seront (seraient) en effet tellement plus efficaces pour améliorer les ressources humaines, matérielles, domiciliaires, économiques de tous ces patients et de leur proches-aidants ! Ceci ne préjuge pas de la nécessaire recherche fondamentale. Mais le coût de la recherche n'a rien à voir avec celui du ruissellement de ses applications non validées.

Renouveau du magnétisme médical

Posté le 20/10/2018 par Martine Naffréchoux-Multon

"Ces recherches ravivent évidemment de nouveaux charlatans qui facturent des séances de magnétisme au prix de la neurochirurgie. Tant qu’un nouveau Lavoisier n’aura pas sonné le glas de ces nouvelles expérimentations, gardons l’espoir que le cerveau puisse un jour comprendre le cerveau..."
Je partage votre denonciation des nouveaux charlatans qui exploitent l'inculture scientifique des foules. Un bémol : les circonstances de la decouverte de la nature electrique de l'influx nerveux se sont produites autrefoisxdans une semblable confusion entre exhibitions de cirque et mise à l'epreuve des hypotheses..Diffusons la rigueur du raisonnement scientifique et reprimons les charlatans mais aussi les labos de recherche du progrès. ..financier, voyous.

Renouveau du magnétisme médical

Posté le 18/10/2018 par Federmann Georges Yoram

Il y a de magnifiques descriptions de passes magnétiques
dans " Ange Pitou" d' Alexandre Dumas.
C'est le Dr Gilbert qui "opère".
La magnétisme va précéder la psychanalyse dans la découverte de l' inconscient.
Le terme d'hystérie garde toute sa puissance psycho-dynamique et subversive.
Belle nuit
g y

Sexisme pittoresque de la médecine

Posté le 10/10/2018 par Claude

Il est bon de lire cet article.
Ecoute, compréhension,générosité face à ce sexisme pittoresque que vous osez dévoiler et qui, encore est si présent de nos jours.
Merci.

Sexisme pittoresque de la médecine

Posté le 09/10/2018 par Patrick Lemoine

Excellent papier Luc !
Bravo

Réponse à H.Altherr

Posté le 08/10/2018 par luc PERINO

Je ne suis pas certain de bien comprendre toute votre question. Il y a au moins deux certitudes :
- Le microbiote "normal" peut devenir pathogène dans certaines circonstances (ex colibacille pour ne citer que lui)
- La dysbiose peut être cause ou conséquence, ou les deux dans plusieurs pathologies (obésité : certainement ; cancer : peut-être)

Microbiote et cancer

Posté le 07/10/2018 par H.Altherr Pharmacienne

Bonjour, je m'interroge toujours sur la nuance entre causalité et concomitance. Entre autres lorsque des micro-organismes sont systématiquement retrouvés dans certaines pathologies, dont celles que vous citez.
Pourrait-on imaginer que ces virus & bactéries "pathogènes" font partie intégrante des microbiotes humains, qu'ils prolifèrent lorsque des facteurs externes perturbent ces microbiotes (alimentation inappropriée; stress; hormones de synthèse; ...) mais que ce sont ces éléments externes qui engendrent les pathologies? La dysbiose (intestinale ou autre) n'étant alors qu'une conséquence?
Merci pour la diversité et l'originalité des sujets abordés!

Pygmalion a de la poigne

Posté le 04/10/2018 par Marie

Comme je suis heureuse !
J'ai 65 ans et une bonne poigne !
Surprise à moitié, amusée surtout, je confirme. Oui ma poigne va de pair avec mon élan vital et mon bien-être psychologique .
L'affirmation de soi, l'affirmation de ses valeurs et la détermination dans les décisions réfléchies se reflètent dans ma poigne !!!

Pygmalion a de la poigne

Posté le 04/10/2018 par Alain Braillon

toujours aussi brillant
tibi

Pygmalion a de la poigne

Posté le 04/10/2018 par Dr Bernard Laurent

Vous avez raison mais on ne progresse dans la connaissance de l’alzheimer qu’en comprenant les facteurs de risque ApoE ,la génétique des formes dominantes….ETC
Mais jamais on ne restitue ces résultats aux patients dans les études pharmaco ;

Pygmalion a de la poigne

Posté le 04/10/2018 par Dr A Carayon

Excellente « humeur »

Pygmalion a de la poigne

Posté le 03/10/2018 par Claude Paoli

Excellent, logique et plein d'humour, comme d'habitude, cher Docteur Luc, merci !

Réponse à Saurin

Posté le 26/09/2018 par luc PERINO

Bonjour,
Je suis désolé si vous n'appartenez pas à la classe des mandarins leaders d'opinion qui grèvent lourdement le budget en connivence avec l'industrie. Ne vous sentez donc pas spécialement visé.
Vous noterez que je n'ai épargné personne dans les dépenses : médecins patients, mutuelles, etc.
Il est évident qu'il y a, dans chaque catégorie, les dépensiers et les économes. Je ne fais aucune discrimination de classe, ni positive, ni négative.
Je ne souhaite pas égratigner les mandarins, ni les épargner plus que les autres.
Très cordialement

L’inégalité d’accès aux soins n’est plus ce qu’elle était

Posté le 26/09/2018 par Philippe haudebourg

Bonjour,
Votre analyse est parfaite, mais vous avez oublié le scandale des transports sanitaires....Moi qui habite à 40 km de Caen , la plupart des patients bien portants souhaitent pour une consultation au CHU ou ailleurs, préfèrent prendre un transport sanitaire parce que remboursé, plutôt que leur propre véhicule...Mais docteur, j'y ai droit!!

Sans commentaires..

Cordialement votre

L’inégalité d’accès aux soins n’est plus ce qu’elle était

Posté le 26/09/2018 par saurin

Cher Mr Perino
merci pour vos articles pertinents, intelligents, qui nous ouvrent l'esprit. Mais lachez un peu les "mandarins" qui n'existent plus depuis longtemps, qui à l'heure de la T2A travaillent pour l'hôpital public 70 heures par semaine en accumulant les fonctions de recherche, d'enseignement, de soins, et qui en effet font quelques piges pour les labos pour compenser un salaire qui est la moitié de celui de leur confrères privés (qui ne font que du soin, sans compétence particulière), et la moitié de celui de la majorité de leurs confrères européens. A quelques exceptions près, vos mandarins sont des forcats de la santé et un peu quand même les garants de la qualité des soins en France.

Serai-je méchant?

Posté le 15/09/2018 par Claude

Bonjour !
Méchant ! ....Jamais !
Vos capacités intellectuelles, vos valeurs humanistes, vos connaissances, votre expérience s'accordent pour nous livrer des prises de position intelligentes,honnêtes, réalistes et d'une vérité incontournable. Et ceci pour notre bien à tous, bons ou méchants.
C'est ce que l'on aime chez vous.

Serai-je le méchant ?

Posté le 10/09/2018 par François-Marie Michaut

Cher ami
Vaut-il mieux un méchant intelligent qu’un gentil inconscient de ce qu’il fait ?
Très bon papier que je vais reprendre à ma façon sur Exmed dans mon prochain Coup d’Oeil, avec lien vers ta publication, cela va de soi. Cette affaire doit déborder du huit clos médico-médical.
Bien à toi

Réponse à Pedrinha

Posté le 10/09/2018 par luc PERINO

Merci pour votre vigilance
En effet une croix mal placée !
j'ai corrigé

Serai-je le méchant ?

Posté le 10/09/2018 par Nicole Tanne

Non vous n’êtes pas le méchant . Vous êtes le sachant, qui éclaire les autres et qui dit ce qu’on ne veut pas entendre - surtout si c’est vrai - pour ne pas avoir à répondre. Merci d’avoir le courage de parler .

Serai-je le méchant ?

Posté le 09/09/2018 par Pedrinha

Bonjour,

1- Pourquoi votre 2ème référence sur le suivi des Ig monoclonales ? un slippé - déposé ?

2- Sur le nouveau médicament de l'amyotrophie spinale, vous faites des remarques pertinentes et délicates. Politiquement incorrectes. Vous serez le méchant, hélas.

Serai-je le méchant ?

Posté le 09/09/2018 par Massé Jean François

Excellent ! Salutaire ?
Comment répartir le budget d'un Etat providence pour que les authentiques progrès ne soient pas exclusivement catalysés par le profit immédiat d'entreprises à finalité d'abord commerciale ?
Enorme débat de société...
Confraternellement.

Israël: les écoles encouragées à éviter d'enseigner la théorie de l'évolution

Posté le 04/09/2018 par Claude

https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/societe/183021-180830-israel-les-ecoles-n-enseigneraient-plus-la-theorie-de-l-evolution-de-darwin

Equilibre proies/prédateurs et ministère de l’écologie

Posté le 29/08/2018 par Dr Alain Beaupin

Bonjour,
Merci cher Luc Perino pour cette analyse politique claire et irréfutable. Je partage à 100 %.
Cordialement.

Equilibre proies/prédateurs et ministère de l’écologie

Posté le 29/08/2018 par Pr. Patrice QUENEAU

Excellent, comme d'hab' D'une lucidité imparable !
C'est comme l'enseignement… qui n'intéresse aucun Directeur de CHU puisque seul compte ce qui se voit et s'expose comme IMMEDIATEMENT RENTABLE !
Le temps de la formation n'intéresse pas les décideurs !
Il en est de même du travail obscur des cliniciens

Les mâles et l'accouchement

Posté le 28/08/2018 par Pr Marc Peyron

Merci de cette intéressante humeur-coup d’oeil, de cette synthèse et cette remise à leur place de chacune et chacun.

Réponse à Marie

Posté le 27/08/2018 par luc PERINO

Merci Marie pour votre fidélité.
J'espère que beaucoup d'autres ont su apprécier cette émission.
Bien cordialement

La curiosité est un vilain défaut

Posté le 27/08/2018 par Marie

Bonjour !
Merveilleuse émission !
Votre passion, vos connaissances et votre art oratoire !
Un vrai bonheur de vous voir et de vous écouter , nous, vos lecteurs.
"Darwin viendra-t-il ?"...
Félicitations pour la sortie de votre nouveau livre !
Merci à vous.

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Posté le 23/08/2018 par Hélène ALTHERR pharmacienne formée en nutrition & hygiène de vie

Bonjour,
Vous parlez de bon sens : qu'est-ce? Je ne connais pas... ;)
Encore un excellent article!
Oui, nous sommes nourris par l'industrie par l'industrie agro-alimentaire qui n'a que faire de la santé. Et soignés par l'industrie pharmaceutique qui ignore l'alimentation!
Plus exactement, nous pouvons choisir de l'être.
Ou non :
Choisir de cuisiner maison avec matières premières et cuissons maîtrisées; manger paisiblement, en conscience, en mastiquant bien; selon ses envies du moment, correspondant aux besoins physiologiques de l'instant et au profil individuel profond : c'est éliminer de fait l'industrie agro-alimentaire, maintenir ou retrouver son équilibre de Santé, donc zapper également big pharma!
Gardons en mémoire que nous avons toujours le choix de dire Oui ou Non à tout...
Très belle fin d'été
Hélène ALTHERR
Pharmacienne

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Posté le 21/08/2018 par Dr Haudebourg

Cher confrère,

Merci pour vos messages toujours très intéressants, mais la question posée ce jour va bien eu delà du glyphosate, il faut aussi parler des insecticides déversés par tonnes sur notre beau pays.
Voyez vous, depuis que je suis gynécologue accoucheur à la retraite, je vis à la campagne. Depuis moins d'une décennie, j'ai vu progressivement disparaître, les sauterelles, les couleuvres, les chauve souris,les grenouilles, les abeilles et une grande partie des hirondelles qui comme chacun le sait ne se nourrissent que d'insectes et tout aussi bien d'autres oiseaux qui peuplaient nos campagnes et que l'on ne voit pratiquement plus. Dire cela, n'est pas me semble-t-il faire preuve de passéisme, mais c'est bien là une observation objective, et sans parti pris.
Comment désormais,expliquer à mes petits enfants parisiens, qu'enfants,nous courrions après les sauterelles et les papillons lors des grandes vacances ensoleillées, alors que les prairies sont devenues un désert?
Rassurez vous je ne vote pas écolo, mais il n'est pas nécessaire d'adhérer à un part politique pour se rendre compte que la désertification des campagnes n' est pas seulement humaine, mais qu'elle touche aussi tout ce petit peuple animal, avec qui nous avions cohabité, ce qui nous pose un problème d'éthique qui ne semble pas toucher les éminences qui nous gouvernent.

Cordialement

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Posté le 21/08/2018 par Patrice Queneau

Cher ami
Ah ! Combien je souscris à votre humeur médicale de la semaine.
On peut disserter aussi sur la surdité des pouvoirs publics face aux preuves scienfiques réitées et les plus éclatantes.
J'ai pu voir les convaincus qui ne l'étaient plus devant une caméra ou face au moindre des journalistes! Et cependant de bonnes âmes, mais paralysés à l'effet électoral de telle étude Je l'ai vécu, à mon modeste niveau, lorsqu'après avoir publié les premières études francophones "transversales", épidémiologiques sur l'hospitalisation liée aux accidents médicaments, un ministre courageux (Jacques Barrot) m'a fait la confiance de me demander de lui rédiger un Rapport de mission ministérielle sue "La Iatrogénie médicamenteuse et sa Prévention" (1998). Nous mentionnions avec prudence le fait qu'après extrapolation plutôt à la baisse, on pouvait craindre en France environ 10.000 à 30.000 morts par accident médicameux, dont 1/3 à la moitié "potentiellement évitables"

Après la publication de ce rapport j'ai été accusé de vouloir saper l'industrie du médicament, etc… mais l'attaque la plus violente est venue non de l'industrie pharmaceutique mais du Direceur général de la santé (DGS) de l'époque, un professeur de médecine célèbre, qui m'a intimé l'ordre de cesser immédiatement mes diatribes infondées et mes interviews, que je n'ai d'ailleurs jamais diligentés, provenant directement de la demande des médias.
Deux ans plus tard, une enquête officielle de cette même DGS fournissait des chiffres similaires, un peu plus élevés d'ailleurs.

Lontemps, les politiques ne voulaient pas entendre parler des accidents médicamenteux -sauf ponctuellement- et surtout de leur prévention, ne serais-ce que par la formation des médecins ert autres soignants… qui n'intéresse aucun ministre puisque la formation est un placement à moyen et long terme !

En politique, seul compte ce qui se voit et se compte à COURT TERME.

Amitiés

Pr. Patrice QUENEAU
Membre de l'Académie Nationale de Médecine

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Posté le 21/08/2018 par François-Marie Michaut

Cher ami
Merci de m’avoir fait connaitre l’agnotologie que je ne connaissais pas. J’ai regardé https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnotologie et lu la formule sidérante : « l’ignorance, c’est le pouvoir » .
Ne sommes nous pas tous, ou si peu s’en faut, des agnatologues qui s’ignorent ?
Qui, s’intéressant aux neurosciences et aux cultures traditionnelles a déjà lu, commenté et critiqué comme il se doit, le livre en 2 volumes "La face cachée du cerveau » de Dominique Aubier qui démontre une concordance plus que troublante entre la connaissance scientifique la plus classique et ce que montrent les grandes traditions des cultures humaines. Le silence qui continue de régner chez les intellectuels venus des sciences ou de la culture, malgré des traductions en plusieurs langues, est un cas remarquable d’agnatologie Bien cordialement

courrier@exmed.org

PS : il y a dans le mot agnatologie comme un refrain d’agneau… Chercher le loup, et le silence, non ?

Pesticides, antidépresseurs et agnotologie du suicide

Posté le 21/08/2018 par Georges Yoram Federmann

Preuve que si , in fine, " l' Homme est bon, le Veau est meilleur".
Brecht

Réponse à Claude

Posté le 19/08/2018 par Luc Perino

Claude,
je n'ai hélas pas vu cette émission.
Mais vu ce que je sais de l'industrie sanitaire, je n'ai aucune peine à en imaginer le contenu !!

De l’épisiotomie à l'épistémologie

Posté le 19/08/2018 par Philippe haudebourg

Bravo pour ce texte
A propos, préfère ton , en cas d' extraction difficile? Une bonne épisiotomie recousue suivant les règles ou une déchirure périnéale qui laissera forcément des séquelles ultérieures....
Mais je reconnais que l'on fait moins d'épisiotomies, mais en contre partie plus de césariennes....Ce sont les statistiques qui le disent.Mais apparemment, personne ne critique les césariennes abusives dites de 'confort'.
En outre recoudre une épisiotomie, ne figure pas à la nomenclature. La recoudre est donc un acte gratuit
On peut en discuter entre professionnels, mais pas avec ces 'bonnes femmes' qui se mêlent de tout sans savoir

Cordialement

Ne pas vexer son médecin

Posté le 19/08/2018 par Jean-Michel Bolzinger

Excellente chronique qui dit si bien le ressenti des cliniciens de notre génération. Merci à vous.
(jeune retraité épuisé par tant de bêtise institutionnelle)

Ne pas vexer son médecin

Posté le 17/08/2018 par Federmann Georges Yoram

« mon médecin m’a prescrit ce médicament, mais je n’ose pas lui avouer que je ne le prends pas de peur de le vexer ».

Le patient s'est mis , là, en position de soignant ...de son médecin et peut gagner à prendre conscience de cette fonction supplémentaire .

Latcho drom

Ne pas vexer son médecin

Posté le 14/08/2018 par bluerhap

Je rajouterai : ne pas vexer les copains généralistes enseignants, qui se donnent bien du mal depuis des décennies, en lisant régulièrement la presse indépendante de l'industrie pharmaceutique (au prix de se faire traiter d'Ayatollah par les collègues), en enseignant systématiquement la relation à nos étudiants (au prix d'en entendre un certain nombre râler parce qu'ils ne sont pas là pour faire de la psychologie mais pour apprendre quels sont les traitements efficaces), en négociant avec nos patients pour trouver avec eux le traitement le plus adapté à leurs attentes (au prix parfois d'un retour méprisant de leur part parce que ce qu'ils veulent, eux, c'est un vrai médecin qui leur prescrit un médicament "fort" afin qu'ils n'aient pas à se préoccuper de leur santé), et en se tapant des dossiers indigestes pour obtenir des financements dans le but de produire une recherche pertinente en soins primaires ;-)

Ne pas vexer son médecin

Posté le 10/08/2018 par Claude

"Prescriptions abusives à vie, effets secondaires des médicaments inutiles, dissimulations de non observance, automédication, médicaments frelatés achetés sur internet, multiples prescriptions de spécialistes ou de médecines alternatives, bref, tous ces échecs de la relation allaient rendre le défrichage des symptômes et de l’évolution clinique infiniment laborieux. Dans la relation médecin-patient de demain, les docteurs Watson auront vraiment besoin de Sherlock Holmes à leurs côtés."
Le contenu de votre réflexion s'applique, en partie, parfaitement et collatéralement à mon sujet "en Off". Mon impression est-elle bonne ?

Ne pas vexer son médecin

Posté le 10/08/2018 par MIKAEL RABAEUS

Totalement d'accord avec vous. C'est d'autant plus dommage qu'un article récent a confirmé que l'intuition du médecin est souvent supérieure à la technologie.
J'ai vécu tout à fait les mêmes incidents que ceux que vous décrivez
MR

Ne pas vexer son médecin

Posté le 10/08/2018 par Penelope Haccius

Perso, je n’Hésite pas à dire quand je ne suis pas d’accord - et de la part de certains égos démesurés (la cardiologie en est truffée en Suisse) je me suis fait enguelée, traitée comme un enfant délinquant ... bref, je n’hésite pas non plus à changer de spécialiste jusque trouver qqn qui me parle comme être humain intélligent, partenaire dans la quète d’améliorer ma santé. Ceux qui propose les méthodes Taille Unique, me font la leçon ou manque autrement de respect, je les quitte.

En Off !

Posté le 09/08/2018 par Claude

Bonjour !
L'émission sur le business du sang, une enquête diffusée sur Arte ce 09/08 à 10h55 m'a fortement interpellée, inquiétée et dérangée
Il serait vraiment très intéressant d'avoir votre analyse, votre sentiment et surtout votre appréciation.
Outre l'atroce deal des"fournisseurs de plasma", j'ai surtout retenu le tragique risque pour les patients.
Merci merci pour votre "echo".

De l’épisiotomie à l'épistémologie

Posté le 31/07/2018 par Pr. Patrice QUENEAU

Cher ami
analyse remarquable ! Comme d'hab'
La préventio… ? !?
Cordialement
Pr. Patrice QUENEAU
Membre de l'Académie Nationale de Médecine

De l’épisiotomie à l'épistémologie

Posté le 31/07/2018 par Jean michel Rogez

Monsieur
Bravo pour le bon sens et la volonté

De l’épisiotomie à l'épistémologie

Posté le 31/07/2018 par Patrick Vermersch

un petit mot pour vous féliciter
j'aime bien lire vos mots, toujours pertinents
continuez...!
Patrick Vermersch
Prof de neurologie, université de Lille
Vice-président recherche, université de Lille

iatrogénie

Posté le 10/07/2018 par salaun marc

Encore moi !
Avec un peu d ' humour et de manière plus triviale , il est aussi possible de dire "" Y ' a trop - génie "" sans génie !

iatrogenie

Posté le 10/07/2018 par salaun marc

Bonjour ,
Bravo encore pour votre dernière humeur ; C'est encore vous qui expliquez que le premier acte d'importance en Gériatrie est la déprescription.

Addiction suprême après les jeux-vidéo

Posté le 07/07/2018 par Monique Vanin (psychiatre)

votre article est très intéressant concernant notamment "les maladies mentales " et l'utilisation dirigée des psychotropes
je rajouterais qu'avec la classification des DSM...toute la clinique psychiatrique est maintenant orientée et créee par l'industrie pharmaceutique américaine à l"origine
et c'est celle qui est enseignée aux futurs médecins et psychiatres depuis des années , ils sont donc bien tous formatés
bien à vous

Votre Conférence à Nice en 2015

Posté le 05/07/2018 par Violette

Bonjour Monsieur Luc Perino,

J'écoute en ce moment votre très intéressante Conférence sur le thème de "La souffrance du soignant".

Vous définissez remarquablement bien "les deux époques".

Vous redonnez un vrai sens à la "CLINIQUE" !

Bravo et merci !

Bien à vous,
Violette

Addiction suprême après les jeux-vidéo

Posté le 03/07/2018 par Pr. Patrice QUENEAU

excellent, comme toujours
d'une lucidité imparable et… agréable à lire !
amitié

A l'affût de chacun de vos articles !

Posté le 23/06/2018 par Michelle

Bonjour !
On est militant à vie !
Souvenez-vous- en !!!!!!!
Ne vous arrêtez surtout jamais.
Vous lire nous alerte,nous tient sans cesse éveillé face aux abus et aberrations de la médecine et....nous cultive formidablement et...tout cela avec tellement d'humour !
Merci !

Personnalisation sans individu

Posté le 19/06/2018 par Pr. Patrice QUENEAU

cher ami
excellentissime et si juste, comme chaque fois !
compliments et merci
amitié

réponse à François Marie Michaut

Posté le 17/06/2018 par Luc Perino

Vous avez raison, le médecin est même probablement le plus important des 4.
Je l'ai mis ici hors sujet, car je le considère comme l'arbitre des 3. Mais je dois reconnaître qu'il est tout aussi peu objectif que les trois autres.
Merci
Amicalement

Personnalisation sans individu

Posté le 17/06/2018 par François-Marie Michaut

Terrible absence, cher auteur.
Vous écrivez :

"Toute décision thérapeutique s’appuie sur trois composantes. La première est évidemment un diagnostic précis. La seconde relève des données de la science biomédicale. La troisième concerne le patient : son environnement, sa personnalité, ses préférences."

Il manque juste le 4ème pied : la personne du thérapeute. La physique quantique nous a appris qu'il ne peut exister aucun observateur neutre. Les pharmacologues, bien malgré eux, ont mis en évidence l'effet placebo/nocebo. Que cela choque ou non notre rationalité, tout soignant - et non la molécule des chimistes - est la source sans laquelle il n'existe aucun effet placebo.
Relire - ou pour la plupart- lire les livres de Balint, dont le fameux : Le médecin le malade et sa maladie. Ca n'a pas pris une ride. Le médecin 2018 devrait exiger que soit respecté son droit absolu d'être une personne et d'agir comme telle, et non un robot d'éxécution interchangeable de la machinerie technoscientifique.

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